27 jours. Dans 27 jours, le quinquennat catastrophique de François Hollande s'achèvera. 1,3 million de chômeurs supplémentaires, 48 milliards de déficit commercial en 2016, une insécurité galopante, des injustices toujours plus criantes? La France a été meurtrie par le gouvernement socialiste auquel appartenait M. Macron, l'enfant chéri d'une élite décadente qui a érigé le conflit d'intérêts en mode de gestion. Architecte d'une politique économique qui a fait souffrir tant de Français, l'ancien protégé de M. Attali porte une responsabilité écrasante dans l'affaissement de notre beau pays.
Soutenu par un invraisemblable attelage
Candidat à la présidentielle, il se pare des habits de l'homme neuf et vient promettre une France nouvelle dans un programme que la vacuité dispute à l'imprécision. Soutenu par un invraisemblable attelage où se côtoient banquiers, conseillers et ministres en rupture de ban, journalistes en mal de notoriété, il fait désormais figure de favori de l'élection présidentielle. Il flotte autour de M. Macron la même atmosphère enamourée qu'autour de M. Balladur en janvier 1995, à l'époque où le regretté Philippe Séguin s'exclamait : « Arrêtez donc de croire qu'il va y avoir une élection présidentielle. Le vainqueur a déjà été désigné. Proclamé. Fêté. Encensé....
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