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Le Point politique : précarité, écoles fermées, vengeance et démission
information fournie par Le Point 05/09/2014 à 20:29

Accueilli sous les applaudissements, le Premier ministre Manuel Valls était à l'université d'été du PS dimanche dernier avec un discours qui se voulait rassurant sur l'avenir de l'emploi en France. Puis, deux jours plus tard, François Rebsamen demande à Pôle emploi de "renforcer les contrôles" sur les chômeurs. En juillet, le chômage a atteint un nouveau record, alors que la France compte plus de 350 000 emplois non pourvus. "Il s'agit en fait de vérifier que les gens cherchent bien un emploi", précise alors le ministre du Travail, qui prévoit des sanctions. De quoi faire vivement réagir, en particulier dans la majorité. >> Lire aussi La Rochelle : des huées aux vivats, la méthode Valls (édition abonnés) Mardi 2 septembre, 13 millions d'élèves reprenaient le chemin de l'école, une semaine seulement après que Najat Vallaud-Belkacem a été nommée ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Malgré la généralisation de la réforme des rythmes scolaires, vingt-trois communes en désaccord ont refusé d'ouvrir leurs écoles le mercredi suivant. La ministre a donc annoncé que l'État avait l'intention de saisir la justice, "lorsque les maires ne rempliront pas leurs missions, les préfets le feront à leur place". Les problèmes s'enchaînent Ça ne s'arrête pas là pour le gouvernement : la vie privée du président François Hollande avec son ancienne compagne Valérie Trierweiler...

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