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Italie : Berlusconi, le retour
information fournie par Le Point 11/03/2015 à 17:53

Silvio Berlusconi n'a pas corrompu un fonctionnaire pour faire libérer la jeune Ruby El-Mahroug, dite Ruby, et il ne savait pas que la jeune fille était mineure lorsqu'il a eu des relations sexuelles avec elle. Ainsi a statué la Cour de cassation de Milan qui, en confirmant la sentence d'acquittement de la cour d'appel, a mis définitivement fin au Rubygate, l'affaire qui a fait la une de tous les médias du monde. Intervenue au terme de 9 heures de délibération, la décision a été accueillie comme une délivrance par l'ancien Cavaliere. "C'est la fin d'un cauchemar. J'ai été mis au pilori médiatique. Qui me dédommagera pour tout ce que j'ai subi ?" a demandé Silvio Berlusconi.Toutefois, ce point final n'est pas près de réconcilier pro et anti berlusconiens. Car loin d'établir que l'ancien président du Conseil était étranger aux faits qui lui étaient reprochés, la Cour de cassation a surtout délibéré sur le fil de l'interprétation du Code pénal. Concernant la corruption de fonctionnaire, elle a reconnu que Silvio Berlusconi avait "abusé de sa fonction de président du Conseil dans un but personnel" en obtenant la libération de Ruby, arrêtée à Milan pour vol, en la faisant passer pour la nièce de Moubarak. Néanmoins, il n'a pas menacé le fonctionnaire du commissariat de représailles s'il n'obtempérait pas ni ne lui a promis une récompense pour la libération de la jeune femme. Le fonctionnaire a agi uniquement par "déférence envers le...

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