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Il n'y aura aucune complaisance en cas de violence dans la rue, affirme Macron
information fournie par Reuters 21/09/2017 à 08:03

IL N'Y AURA AUCUNE COMPLAISANCE EN CAS DE VIOLENCE DANS LA RUE, AFFIRME MACRON

IL N'Y AURA AUCUNE COMPLAISANCE EN CAS DE VIOLENCE DANS LA RUE, AFFIRME MACRON

NEW YORK (Reuters) - Emmanuel Macron a promis mercredi soir qu'il n'y aurait aucune complaisance de l'Etat à l'égard de toute forme de violence dans la rue, à la veille d'une nouvelle journée de mobilisation en France contre sa réforme du code du travail.

"Je respecte profondément tous celles et ceux qui expriment des désaccords", a dit le chef de l'Etat à la presse à New York, en marge de l'Assemblée générale de l'Onu.

"Nous veillons que tous les désaccords dans notre pays puissent être exprimés de manière constitutionnelle", a-t-il souligné. "Je considère pour ma part que l'action sur laquelle le gouvernement s'est engagée est conforme aux engagements que j'ai pu prendre".

"Je souhaite qu'il y ait le plus grand calme dans les jours qui viennent et il n'y aura à l'égard de toute forme de violence et d'extrémisme dans la rue aucune complaisance", a prévenu Emmanuel Macron. "Et je ne veux en rien confondre des activistes violents avec des femmes et des hommes qui expriment un désaccord légitime sur le projet du gouvernement".

Une semaine après une première manifestation contre la réforme, la CGT et Solidaires appellent à descendre ce jeudi dans la rue, deux jours avant le défilé de la France insoumise à Paris contre le "coup d'Etat social".

La première journée de mobilisation contre ce texte phare du début du quinquennat d'Emmanuel Macron - le 12 septembre - avait été émaillée d'incidents, notamment à Paris et à Nantes.

(John Irish, édité par Marine Pennetier)

6 commentaires

  • 21 septembre 12:07

    et les violences policières, pas de complaisance non plus ? Et les casseurs qu'on laisse passer pour casser l'image des manifestants, on arrête aussi ? et un système qui veut, par principe que tout le monde travail un max, mais qui en même temps envoie ce travail là où c'est moins cher, c'est pas la pire des violences ?


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