Semaine décisive pour la primaire de la droite. Alors que se profile le premier tour, le week-end prochain, la campagne s'accélère, les derniers meetings se multiplient et l'ultime débat, prévu jeudi, pourrait faire bouger les lignes. Ce samedi, Nicolas Sarkozy se rend sur les terres de son rival qui fait toujours la course en tête dans les sondages, Alain Juppé, bien qu'en baisse. L'ex-chef de l'État tiendra une réunion publique à Bordeaux. Revigoré par la victoire de Donald Trump, qui a fait mentir les sondeurs, le candidat de la « majorité silencieuse » continue de croire à sa victoire. Il l'a affirmé dans une interview publiée aujourd'hui dans Le Parisien .
Alors que, depuis des semaines, on l'accuse de faire du Buisson sans Buisson, Nicolas Sarkozy balaie d'un revers de main les accusations d'une campagne droitière. « Je ne me reconnais en aucun cas dans cette présentation caricaturale. Je n'accepte pas que l'on dise que je suis très droitier », signale-t-il, expliquant être la cible de Marine Le Pen « matin, midi et soir ». « Je suis sa cible prioritaire », insiste l'ex-président.
Le manque de fidélité de Pécresse
Avec Bayrou, c'est une guerre qui dure. À des attaques, autant personnelles que politiques, succèdent des invectives. Alors que depuis quinze jours il a axé sa campagne sur l'attaque frontale de l'alliance Bayrou-Juppé ? au point...
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