D'après l'ONU, 40 % des femmes vivent dans un pays qui interdit l’IVG. La conséquence la plus directe est la multiplication d’avortements clandestins. Une pratique dangereuse, qui mène parfois à la mort. C’est le cas au Brésil, où le débat a récemment été relancé par le virus Zika. Notre correspondant à Rio a enquêté.