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"Charlie Hebdo" : "Les victimes policières sont maltraitées"
information fournie par Le Point 14/07/2015 à 11:48

Ingrid Brinsolaro a perdu son mari Franck, officier de sécurité chargé de la protection de Charb, abattu par les frères Kouachi lors de l'attaque perpétrée à la rédaction de Charlie Hebdo le 7 janvier. Alors qu'elle avait été contactée par les autorités pour se rendre à Paris aux cérémonies du 14 juillet, la rédactrice en chef de L'Éveil normand a fini par décliner l'invitation. « Je ne souhaite pas m'étendre sur les raisons qui m'ont poussée à renoncer. Je peux juste vous dire que les victimes de l'attentat issues de la police sont maltraitées et méprisées par le gouvernement. »

À l'appui de son courroux, les mauvaises manières faites à Christophe S., 42 ans, l'équipier de Franck qui, lui aussi, protégeait le patron de Charlie Hebdo . Ce dernier a eu la vie sauve « par hasard ». Le brigadier du service de la protection (SDLP, ex-SPHP) accompagnait Charb depuis trois ans. Franck l'avait rejoint en août 2014. Le matin du 7 janvier, Franck Brinsolaro s'était absenté une demi-heure après avoir déposé Charb à la rédaction. À son retour, Christophe S. descend à son tour sur le boulevard Richard-Lenoir acheter un sandwich. Dans l'intervalle, les Kouachi se sont introduits dans les locaux de Charlie Hebdo . Quand le collègue de Franck remonte, il ne peut que constater le carnage.

Évincé du défilé du 14 juillet ?

Après une prise en charge psychologique succincte, le brigadier a...

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