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Attentats : comment Londres combat le Londonistan
information fournie par Le Point 15/01/2015 à 07:27

Londres se réveille euphorique ce 7 juillet 2005 : la veille, le Comité international olympique a retenu la candidature de la capitale britannique pour organiser les JO d'été de 2012. Mais, à 8 h 50 locales, trois bombes explosent quasi simultanément dans le métro, à Liverpool Street, King's Cross et Edgware Road. Une heure plus tard, c'est un bus qui est éventré par une autre charge. Cinquante-six morts au total, dont les quatre kamikazes, et plus de sept cents blessés.Les autorités n'avaient pourtant pas attendu d'être confrontées aux attentats les plus meurtriers de l'histoire du pays pour tenter de se prémunir contre le terrorisme. À l'époque, le Royaume-Uni détient déjà le record mondial du nombre de caméras vidéo au kilomètre carré ; quadrillage qui a fait ses preuves dans la lutte contre l'Armée républicaine irlandaise (Ira) et qui va permettre d'identifier le quatuor d'islamistes affiliés à al-Qaida, responsable du carnage. Parallèlement, avant même les attentats du 11 septembre 2001 à New York, le gouvernement avait introduit le Terrorism Act 2000, autorisant notamment la détention sans limitation de durée, ainsi que les Muslim Contact Units, cellules chargées de surveiller les mouvements fondamentalistes, nombreux dans la capitale britannique, et qui lui ont valu le surnom de Londonistan. Le dispositif n'empêche pourtant pas le bain de sang dans le métro londonien, aucun des quatre terroristes n'étant connu des services de...

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