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À l'Élysée, le permis de faire n'importe quoi
information fournie par Le Point 26/05/2014 à 19:13

D'Élisabeth Guigou à Alain Juppé, en passant par Manuel Valls, ils ont tous employé le même vocabulaire pour commenter la performance historique du FN aux élections européennes : choc, séisme... Un étrange état de sidération pour des personnalités politiques de premier plan qui avaient pourtant dû consulter les sondages. Vendredi soir, le baromètre quotidien Ipsos/Steria donnait le FN à 24 %, l'UMP à 21 % et le PS à 16,5 %. Le tremblement de terre est à peine plus violent que prévu.

L'Élysée organise dès ce lundi matin une réunion sur les "leçons à tirer", tandis que Jean-François Copé va passer un sale quart d'heure à l'UMP. Dans une tentative désespérée - et presque comique - de minorer sa responsabilité, ce dernier a osé déclarer : "Il faudrait additionner notre score à celui de l'UDI pour être objectif." Le FN, le MoDem, les Verts ainsi que certaines voix de l'UDI ont réclamé l'introduction de la proportionnelle pour les élections législatives : "Le PS et l'UMP ont 95 % des sièges à l'Assemblée et au Sénat. Ce soir, ensemble, ils font moins de 35 %", remarquait avec justesse François Bayrou. Une revendication qu'il est difficile de ne pas entendre à l'Élysée si l'on a bonne mémoire. "J'introduirai une part de proportionnelle", écrivait le candidat Hollande dans son engagement n° 48. La vertu des "midterms"

Mais une modification du mode de scrutin est à la fois délicate et inopérante à court terme : sauf...

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2 commentaires

  • 26 mai 18:06

    Reste l'attentat, le bazooka, le poison mais faut se débarrasser de cet im.bécile au plus vite.


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