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"L'Homme qu'on aimait trop" - Jean-Charles Le Roux : "J'ai écrit sans haine"
information fournie par Le Point 15/07/2014 à 12:08

Qu'il est difficile d'aimer ! D'aimer un homme qui ne le vous rend pas ! D'aimer un enfant qui vous trahit ! André Téchiné le (dé)montre dans L'Homme qu'on aimait trop . Lui qui se plaît à filmer l'intime s'est emparé de l'histoire qui entoure la disparition, en 1977, d'Agnès Le Roux, riche héritière du joyau architectural de la promenade des Anglais, à Nice, le Palais de la Méditerranée. Tout désigne son amant, Maurice Agnelet, un avocat de dix ans son aîné, qui n'a pas les moyens de ses ambitions. Agnelet est fasciné par ce monde qui n'est pas le sien, Agnès sera sa proie. Libre, frondeuse, aventurière, la jeune femme revendique son autonomie financière et veut toucher sa part d'héritage en vendant ses parts du casino. Sa mère refuse. Mais Agnelet est à la manoeuvre. Il présente Agnès à l'ennemi de la famille, Fratoni, déjà propriétaire du casino rival, le Ruhl, qui, moyennant trois millions de francs, achète le vote de l'héritière, faisant perdre à la famille la majorité dans le Palais. Agnès dépose l'argent sur un compte en Suisse et donne procuration à son amant, avant de disparaître. Dans ce drame familial, dont le scénariste n'est autre que Jean-Charles Le Roux, le frère d'Agnès, André Téchiné livre une Agnès bouleversée et bouleversante. Femme-enfant à la fois solide et fragile, lucide et amoureuse, interprétée avec une grande justesse par la jeune Adèle Haenel. Face à elle, Catherine Deneuve (Renée Le...

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