Enfin, voilà ce que j'en pense:
Depuis la décision darrêter lacquisition terrestre comme marine, le management à plusieurs fois répété sa volonté de ne plus dépendre du pétrole.
Les chiffres ne sont pas exceptionnels, mais ils ne sont pas non plus mauvais.
Par contre on saperçoit que cest le pétrole qui fait toujours et encore vivre CGG. Les seuls derniers gros contrats (bien quon nen connaisse pas les montants) sont bien pour Sercel, qui pendant des années à été « la poule aux œufs dor » de CGG.
La dernière acquisition de Sercel est dailleurs lacquisition de la branche software dION. On ne peut pas faire « plus pétrole » que ça. On n'entend d'ailleurs plus beaucoup parler de transition énergétique du côté de CGG....
A lannonce de la fin de lacquisition marine fin 2018, alors que Shearwater se développait de plus en plus, S. Zurquiyah avait déclaré quelle ne croyait pas en leur « business model » . Tout ça pour leur céder toute la flotte quelques mois plus tard avec un accord dutilisation des bateaux sur plusieurs années.
Elle parlait alors du fameux « Asset light »
Elle voulait en fait faire de CGG, un 2ème TGS, qui de son côté à absorbé. Magseis/Fairfield.
Sheawater est toujours là, deviendra bientôt SWG (on aime bien changer de nom), puis surement quelques temps après simplement WG, comme Western Geco, et la boucle sera bouclée.
Tout ça pour dire que même sous les apparences les fonds ne font que sefforcer à faire baisser CGG, moi jy vois plus une sanction quand à la stratégie.
Ca nengage que moi, et comme je ne suis pas actionnaire, je nai aucun intérêt à basher ou encenser CGG.