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Premier bilan de l'IFI : les gagnants et les perdants
information fournie par Le Revenu 11/10/2019 à 07:21

La hausse de l'immobilier dans les grandes villes, et notamment à Paris, a contribué à une recette de l'IFI pour 2018 supérieure aux prévisions. (© DR)

La hausse de l'immobilier dans les grandes villes, et notamment à Paris, a contribué à une recette de l'IFI pour 2018 supérieure aux prévisions. (© DR)

Le nouvel impôt sur le patrimoine a été évalué par un comité d’experts, alors que les prix des biens augmentent. Les données disponibles sont encore jugées insuffisantes mais les principaux gagnants de la transformation de l'ISF en IFI peuvent déjà être identifiés dans les grandes lignes.

Après la suppression de la composante financière de l’ISF et son remplacement par un impôt sur le seul patrimoine immobilier (IFI), un comité d’évaluation composé d’économistes, de représentants des syndicats, du patronat et de l’Administration (France Stratégie, entité rattachée à Matignon) a publié un premier bilan de l’IFI.

Recettes supérieures

Les recettes de ce nouvel impôt ont été supérieures aux prévisions, en atteignant 1,3 milliard d’euros pour 2018, pour une estimation de 850 millions dans le budget. La prévision des recettes de l’IFI pour 2019 est de 1,8 milliard d’euros et, pour 2020, de 1,9 milliard. La hausse des prix de l’immobilier a contribué à ce résultat.

En outre, l’IFI taxe davantage les actifs immobiliers que ne le faisait l’ISF. Car, avec l’IFI, les réductions d’impôt résultant d’investissements dans des PME ont été supprimées. Et le périmètre du passif déductible a été considérablement restreint.

À qui a le plus profité le remplacement de l’ISF par l’IFI ? L’objectif de la réforme était de moins pénaliser les créateurs d’entreprises et d’emplois, en évitant la fuite des capitaux à l’étranger, tout en continuant à faire diminuer le nombre d’assujettis à l’ISF partis à l’étranger.

Selon France Stratégie, les plus gros patrimoines ne sont pas forcément les plus gros bénéficiaires de

1 commentaire

  • 11 octobre 08:08

    Comme toujours avec makon les perdants sont les petits riches, càd ceux qui se sont arrachés pendant 40 ans pour obtenir ce qu'ils ont et les gagnants sobt les super riches qui ont financé sa campagne


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