Comme chaque année à la fin du mois de juin, les professionnels de l'immobilier dressent le bilan de leur premier semestre. Mardi 1er juillet, c'est Laforêt qui livrait ses conclusions sur le marché immobilier de l'ancien résidentiel. "Convergences et disparités" en sont les maîtres mots, selon Elix Rizkallah, président du réseau Laforêt. Convergence pour la baisse des prix engagée depuis trois ans, disparité pour les écarts qui se creusent entre les centres-villes attractifs et les périphéries. En effet, le prix moyen au mètre carré atteint 2 807 euros (- 2,5 % par rapport à 2013), mais les variations de prix prennent de l'amplitude avec des écarts importants entre les appartements de centre-ville et les maisons de périphérie. À Paris, le prix au mètre carré enregistre une légère baisse de - 0,4 % avec 8 083 euros.
Globalement, les acquéreurs sont toujours plus nombreux que les biens, avec vingt et un acquéreurs en moyenne pour un studio. Les négociations quant à elles ont sensiblement baissé pour s'établir à 6,15 % : même si, devant la patience des acquéreurs, les vendeurs résistent encore, particulièrement dans les quartiers traditionnellement chers, il semblerait qu'ils aient accepté la baisse des prix.
Les primo-accédants sont de retour sur le marché
Le premier semestre 2014 confirme le retour des primo-accédants sur le marché de l'immobilier, duquel ils étaient plutôt absents ces dernières années. Ils...
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