Comment choisir son club de sport
Partenaire•20/08/2014 à 11:30 Temps de lecture: 3 min

Quand vous aurez trouvé le club idéal, vous pourrez profiter des bienfaits du sport dans un cadre stimulant.
Lorsque l'on souhaite prendre soin de son corps et rester en bonne santé, les options sont légion et vous entendez de toutes parts qu'il est judicieux de vous inscrire dans une salle de sport. C'est juste, mais il est tout aussi intelligent, et probablement plus amusant, de trouver un club de sport où vous pourrez vous dépenser en pratiquant une activité qui vous plaira. Ce sera aussi l'occasion de décompresser et d'oublier le stress du travail en vous musclant les bras et les pectoraux, l'air de rien ou presque.
Les sports proposés
Il faut déjà savoir quel genre de sport vous aimeriez pratiquer, et avant de vous inscrire, vous devez vous renseigner sur l'ensemble de l'offre des clubs près de chez vous. Vous identifierez celui qui vous conviendra le mieux, et que vous rejoindrez, en fonction des cours dispensés. Selon qu'il propose des cours de capoeira, de l'aïkido ou du football, ils ne s'adressent pas aux mêmes personnes. Pensez aussi à choisir une discipline adaptée à vos besoins et vos attentes, car en club vous ne bénéficiez pas d'un suivi individuel comme avec un coach, par exemple.
La proximité
Les clubs de sports sont souvent gérés par les municipalités ou des associations. Rendez-vous donc sur le site de votre ville pour commencer votre recherche. Vous y trouverez probablement une brochure compilant l'ensemble des activités disponibles près de chez vous. Vous pouvez également vous adresser directement au club omnisport le plus proche, s'il en existe un dans votre ville ou dans les communes environnantes. Il est important que le lieu où vous serez amené à pratiquer votre sport soit proche de votre domicile ou de votre lieu de travail. En effet, rien n'est plus désagréable que de se rendre compte que l'on a dépensé des sommes parfois importantes pour des cours auxquels on n'assistera jamais, pour des raisons pratiques.
La flexibilité des horaires
Malheureusement pour la majorité des adultes, les clubs disposent de grilles horaires parfois très limitées qui ne permettent pas de concilier entraînement et vie professionnelle. Ne vous faites pas avoir par ce genre de problèmes qui, de toute évidence, vous empêcheront de tirer profit de votre inscription. De la même manière que les emplois du temps sont relativement contraignants, vous ne pouvez pas forcément débuter en cours d'année. Généralement, vous devez vous en tenir à des dates qui collent avec l'année scolaire, mais cela n'est pas systématique.
L'homogénéité des groupes
On aime généralement faire du sport dans un groupe dans lequel les écarts d'âges sont le plus limités possibles, pour des raisons diverses comme l'approche du sport. Cela influe également sur la cohérence entre les différents niveaux d'expérience au sein du groupe, et les complexes éventuels qui peuvent en découler. N'hésitez pas à questionner votre futur professeur à ce sujet. En principe il devrait même pouvoir vous laisser assister à une séance pour décider en toute connaissance de cause si vous souhaitez poursuivre ou non. C'est aussi un bon moyen de vérifier l'état du matériel, la propreté des locaux, et d'évaluer le rapport qualité-prix en conditions réelles.
Le professionnalisme
Pour répondre à ce critère, il faut se renseigner sur la formation du personnel d'encadrement et savoir s'ils peuvent justifier d'une expérience à un poste similaire. Car on ne s'improvise pas coach ni entraîneur. Au même titre que vous ne devez pas choisir votre club à la légère, vous devez ressentir que vos interlocuteurs vous prennent au sérieux.
En dernier lieu, soyez réaliste quant à votre motivation. Si vous n'avez pas véritablement envie de vous investir, le problème sera le même qu'avec une salle de sport : vous irez trois fois "pour rentabiliser" et vous vous en éloignerez petit à petit. A ce moment-là, ne perdez pas de temps, faites comme n'importe quel allergique au sport et mettez vous à la musculation pour les paresseux. Bon courage !