TechnipFMC figure parmi les valeurs favorites de Morgan Stanley. Ici, une unité de production de Gaz naturel liquéfié (©TechnipFMC).
Selon les stratèges de Morgan Stanley, la plupart des valeurs cycliques européennes sont extrêmement « surachetées » et sont devenues très chères.
Leur valorisation relative approche un sommet de quarante ans. Elle est devenue particulièrement exigeante dans la chimie, les biens d’équipement et l’automobile.
Et le poids des valeurs cycliques dans l’indice européen retrouve le plus haut de ces vingt dernières années atteint en 2000, au moment de la bulle sur le secteur des technologies.
Prudence sur les valeurs cycliques, devenues chèresLa performance supérieure des cycliques depuis le début de l’année est venue d’une meilleure conjoncture en zone euro et de la remontée des profits d’entreprise.
Mais ces vents porteurs devraient ralentir, estiment les experts de Morgan Stanley, en raison d’un pic attendu sur les indicateurs avancés PMI, d’un effet de base moins favorable, d’un ralentissement du crédit en Chine et de la vigueur de l’euro qui devrait freiner le momentum sur les profits.
Morgan Stanley a donc réduit son exposition sur les valeurs industrielles et sur les biens de consommation discrétionnaire (automobile, etc.).
Encore du potentiel dans l'énergieAu sein des cycliques, l’équipe de Morgan Stanley préfère le secteur de l’énergie, dont les valorisations sont plus attrayantes et qui parait « survendu ». Le
1 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer