La consommation émergente chez Lombard Odier IM doit séduire la clientèle française
information fournie par Newsmanagers12/11/2012 à 15:45
Concrètement, explique Didier Rabattu, le processus d'investissement s'avère très simple. Le portefeuille n'est investi sur environ 70 lignes que dans des entreprises du secteur de la consommation courante et de la consommation discrétionnaire, un univers que la sélection mixte macro-économique et bottom-up (les deux approches ne doivent jamais être en opposition pour une valeur donnée) limite à 200-250 valeurs. L'équipe de gestion se focalise sur un cahier des charges très strict : il faut que les entreprises soient " triple A" du point de vue de la gouvernance, qu'elles se classent numéro un ou deux dans leur secteur, qu'elles ne soient pas endettées et qu'elles soient bénéficiaires.
La gestion de ce fonds a paru suffisamment convaincante pour que la banque privée de Lombard Odier investisse elle-même quelque 210 millions de dollars dans le produit qui a par ailleurs déjà attiré 30-40 millions de dollars de la part de familles d'entrepreneurs spécialistes du secteur. Et si le fonds atteint à présent 320 millions de dollars, il le doit aussi à quelque 60 millions de souscriptions nettes depuis le début de l'année.
Actuellement, le fonds (à liquidité hebdomadaire, le jeudi) est investi à 50 % en Asie (dont 20 points en Chine et 15 en Inde), à 5 % en Afrique de même qu'en Europe de l'Est et à 14 % en Amérique latine. Quelque 25 % de l'encours sont investis sur 2 titres américains, cinq actions européennes et trois japonaises. L'objectif de cette forte diversification (avec un plafond fixé à 4 % par titre) est de diminuer la volatilité.
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