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Viennoiseries industrielles: un boulanger se bat pour un affichage clair
information fournie par Le Point 09/02/2020 à 15:56

Des boulangers veulent redonner au croissant ses lettres de noblesse. De nombreux clients pensent qu'acheter un croissant dans une boulangerie artisanale suffit à garantir qu'il soit « fait maison ». Eh bien, non. La Fédération des entreprises de boulangerie (FEB) assure que 80 % des viennoiseries achetées en France sont, en réalité, des produits industriels surgelés. Dimanche 9 février, BFM TV relaye le combat d'un boulanger niçois, Frédéric Roy.Lire aussi Chocolatine ou pain au chocolat : parlez-vous (les) français ?Depuis deux ans, il ?uvre pour valoriser les viennoiseries artisanales et informer véritablement les clients sur l'origine de ce qu'ils achètent. « Il faut que les consommateurs sachent ce qu'ils achètent vraiment et ne pas pénaliser les artisans qui se donnent du mal pour produire un croissant de qualité », explique le boulanger à BFM TV. Pour cela, il veut établir un cadre légal. Le 13 septembre 1993, le « décret pain » promulgué par le gouvernement d'Édouard Balladur encadrait la fabrication de la baguette de tradition française. Ce texte imposait aux boulangers de fabriquer, sur place, un pain maison, mais rien de semblable n'existe pour les viennoiseries.Lire aussi Pain, fruit, céréales : à quoi ressemble le petit déjeuner idéal ?Label qualitéSi les boulangers qui vendent des croissants surgelés gagnent du temps, ils réalisent également des marges supérieures. « Je devrais vendre les...

1 commentaire

  • 09 février 19:30

    Toujours le même problème... On cache au consommateur pour faire du fric... Avec l'aval de l'état très complaisant... Qui limite au max


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