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Une policière «radicalisée» en conseil de discipline, son collègue d'extrême droite épargné
information fournie par Le Point 05/02/2020 à 13:11

Une fonctionnaire de police, au grade de brigadier, suspendue en novembre 2019 pour « radicalisation » comparaît aujourd'hui devant le conseil de discipline de la préfecture de police pour des faits datant? de 2014. Un de ses collègues coule, lui, des jours heureux malgré ses diatribes anti-immigrés et islamophobes sur les réseaux sociaux depuis près de dix ans. Ce dernier accuse même l'État, son employeur, car, selon lui, « le gouvernement protège les musulmans délinquants ».La brigadière de 44 ans était jusqu'à présent en fonction dans un commissariat de Seine-Saint-Denis. Le préfet de police, à la recherche de cas de « radicalisation » islamiste après les assassinats perpétrés par Mickaël Harpon au sein même de la préfecture de police en octobre 2019, s'est empressé de racler les fonds de tiroir. Il a trouvé une vieille histoire déjà signalée en son temps, demeurée sans suite disciplinaire.Lire aussi sur ce sujet Attaque au couteau à la préfecture de police : les failles des RG au c?ur de l'enquêteRadicalité politiqueEn juillet 2014, la brigadière avait commenté un tweet, dont elle n'est pas l'auteure, qui accusait l'État d'Israël de tuer des enfants : « Et après, on parle de guerre à armes égales », avait-elle noté. En août 2014, cette fois, il s'agit de son propre tweet : « Super manifestation pour le peuple de Palestine? notre peuple. Palestine vivra, Palestine vaincra, inchallah. » Si...

6 commentaires

  • 05 février 10:07

    Les islamo-collabos sont outrés. Ils oublient juste de préciser qui à perpétré tous ces odieux attentats en France ? Et ils ne sont surement pas "Mila"....


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