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Radicalisation: le cas d'un agent de la police pose question
information fournie par Le Point 26/01/2020 à 08:21

Il s'agit du premier dossier sur lequel la nouvelle commission interministérielle chargée d'évaluer les cas de possible radicalisation dans la fonction publique devra se prononcer. D'après les informations de la radio France Inter, un agent administratif de la préfecture de police de Paris est soupçonné de radicalisation.En poste dans un commissariat du sud de la Seine-Saint-Denis, il a un lien de parenté avec un des tueurs du Bataclan, de par son épouse. Au sein du commissariat, « tout le monde était au courant de [ce] lien familial », précise une source à la radio. Plusieurs éléments ont poussé sa hiérarchie à mentionner son cas : il n'aurait pas fait remonter, notamment, un signalement d'une personne qui semblait partir en Syrie.Lire aussi L'ex-djihadiste Mourad Fares condamné à 22 ans de réclusionPar ailleurs, selon ce commissaire en poste dans le département au moment des faits, l'agent refusait d'être dans un bureau en présence de femmes, demandait à se retirer pendant une heure pour prier et il fréquentait des mosquées « très rigoristes » de Seine-Saint-Denis. Il s'agirait d'une personne dépressive.Aux abonnés absents depuis trois ansLe fonctionnaire est, pour l'heure, en arrêt maladie longue durée. Selon les déclarations à France Inter d'une source proche du dossier, si cela n'avait pas été le cas, l'agent aurait été suspendu et renvoyé devant un conseil disciplinaire et risquerait une révocation. Dans son...

2 commentaires

  • 26 janvier 10:26

    M1903733...le principe de précaution vous connaissez?...vous oubliez qu'il s'est radicalisé et peut passer à l'action à tout moment...prenez le chez vous pour le soigner...;-(((


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