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Présidentielle 2022: Jean-Luc Mélenchon ne croit "pas du tout" à l'union de la gauche
information fournie par Boursorama avec Media Services 19/10/2021 à 09:15

"Je le savais depuis le début", a assuré le candidat de la France insoumise.

Jean-Luc Mélenchon à Reims, le 17 octobre 2021. ( AFP / FRANCOIS NASCIMBENI )

Jean-Luc Mélenchon à Reims, le 17 octobre 2021. ( AFP / FRANCOIS NASCIMBENI )

Le candidat à la présidentielle 2022, Jean-Luc Mélenchon, a déclaré mardi 19 octobre ne plus croire à une union des candidats de gauche pour le scrutin.

"Non, pas du tout, ça n'aurait pas de sens" , a répondu le chef de file des insoumis sur BMFTV , interrogé sur une telle alliance.

"Je le savais depuis le début", a-t-il insisté. "Quand j'ai décidé de présenter ma candidature en novembre dernier, c'est parce que je savais que tous les autres allaient en faire autant et qu'ils allaient faire auparavant différentes gesticulations", a insisté le député.

Comme un air de 2002 ?

"Le tableau, c'est le même qu'en 1981 : il y a cinq candidatures dans la gauche traditionnelle, plus moi (...). On a le même contexte, a analysé Jean-Luc Mélenchon. Et puis on se rapproche de plus en plus de la situation de 2002."

L'Insoumis a toutefois estimé que la droite était "bien plus explosée", et "même l'extrême-droite, cette fois-ci".

Au chapitre des raisons de cette situation, Jean-Luc Mélenchon a estimé qu'il s'agissait là d'une réorganisation du paysage politique, nécessaire après son explosion en 2017.

Interrogé sur la coalition réunissant en Allemagne les sociaux-démocrates, les libéraux et les Verts, l'Insoumis a ironisé : "Fantastique ! Pour mentir à le monde".

12 commentaires

  • 19 octobre 11:39

    Ironiser sur l'Allemagne c'est se ridiculiser dans la mesure où le système français conduit à l'élection d'un candidat plein de promesses qui au final doit composer avec un contexte qu'il n'avait pas voulu admettre avant. On voit jouer ça à chaque élection, le pire ayant été l'union de la gauche en 1981 et le renoncement de 1983 qui a suivi faute de pouvoir défendre le Franc.


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