Entre Barack Obama et Raúl Castro, il ne s'agit pas d'une lune de miel désintéressée. Raúl Castro est bien un "dur" et n'envisage pas une seconde de laisser à d'autres que les révolutionnaires castristes le pouvoir. Seulement voilà : il a perdu son dernier soutien économique, le Venezuela qui avait "remplacé" la Russie. Il sait aussi que les dictateurs ne sont plus à l'abri d'un "printemps". De son coté, Obama ne veut pas laisser la place aux Chinois qui lorgnent sur l'île.
2 commentaires
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer