Le Point.fr : Que répondez-vous aux accusations de mauvais traitement des chiens du camp qui porte votre nom? Nicolas Vannier : Tout d'abord, je n'ai pu m'expliquer plus tôt puisque j'étais à l'étranger pour mes projets. Dès que je suis rentré, j'ai souhaité régler cette histoire le plus vite possible. D'abord avec les personnes en question, et notamment le refuge Eden Valley qui a accueilli dix des chiens de traîneau du camp. On m'a accusé sur les réseaux sociaux d'avoir abandonné mes quatorze chiens de traîneau dans un refuge. C'est infondé, totalement faux et intolérable. Ils sont repartis avec moi, car ils m'accompagnent dans toutes mes aventures. Jamais je ne pourrai m'en séparer. La seconde information erronée est celle sur la santé des autres chiens du camp. Ceux qui ne m'appartiennent pas. Une partie a été récupérée par leurs propriétaires, des amis mushers. Et dix ne pouvaient retourner avec leur propriétaire. Ainsi, la décision a été prise de les céder à une association qui devait s'en occuper et leur trouver un nouveau foyer. Toute cette histoire est un grand gâchis. Le fond de l'affaire, c'est le camp. Moi, tout ce qui m'importait, c'était le bien-être des chiens. Dès que j'ai su que le camp allait fermer, j'ai remué ciel et terre afin que les propriétaires puissent les récupérer dans les meilleures conditions possible. Justement, la présidente du refuge Eden Valley, Pascale Laroche, a constaté que les ...
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