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Les grands perdants du remaniement
information fournie par Le Point03/04/2014 à 17:38

Quatre grandes victimes des tractations de ce remaniement minimal. Quatre histoires différentes. 1. Pierre Moscovici François Hollande lui offre un lot de consolation : un poste de commissaire européen auquel Pierre Moscovici n'était pas candidat. L'ancien ministre de l'Économie n'avait pas l'intention de lâcher Bercy, et surtout pas à son fougueux rival, le théâtral Montebourg. Pierre Moscovici paie très cher le fait de ne pas s'être présenté à la primaire citoyenne de 2011. Ce strauss-kahnien avait hésité, puis renoncé. Moyennant quoi, Manuel Valls et Arnaud Montebourg ont pu se mesurer dans ce scrutin et peser par la suite dans les équilibres politiques de ce gouvernement.Le ralliement de Moscovici à François Hollande, en échange duquel il fut son directeur de campagne, n'a pas suffi à faire de lui un "incontournable" de la présidence Hollande. Pourtant, les deux hommes ont toujours été en phase sur le plan des options économiques ou politiques. Quand le PS se divise sur le traité européen de 2005, Hollande et Moscovici sont dans le camp du "oui", alors que Valls, Hamon, Montebourg et Fabius militent pour le "non". Les "nonistes" sont aujourd'hui promus quand Moscovici doit faire ses valises pour Bruxelles...Pourtant, il revendique un parcours sans faute : la mise en place de la Banque publique d'investissement, l'union bancaire, la loi de séparation bancaire française et la renégociation auprès de Bruxelles du pacte de stabilité,...

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