Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Jérusalem, le nouveau caprice de Donald Trump
information fournie par Le Point 07/12/2017 à 08:55

Il aime, dit-il, se montrer imprévisible pour dérouter et désarçonner ses adversaires. Mais, après presque un an à la Maison-Blanche, le mode de fonctionnement de Donald Trump a un petit air connu. L'annonce, hier, de la reconnaissance de Jérusalem comme la capitale d'Israël en est un bon exemple.

Le président n'aime rien tant que de susciter le chaos, de créer l'incertitude en allant à l'encontre de l'orthodoxie. Mettre un grand coup de pied dans la fourmilière lui permet de négocier un meilleur « deal », de faire plaisir à sa base qui adore le voir renverser l'ordre établi et de se montrer comme un type hardi. Contre l'avis de ses alliés, de son secrétaire d'État et de son ministre de la Défense, il a donc décidé de transférer l'ambassade américaine à Jérusalem, une rupture totale avec la politique américaine. Donald Trump remplit ainsi une promesse de campagne, ravit son électorat évangélique et ses riches donateurs pro-Israël. Tant pis si ça déclenche une vague de violences au Moyen-Orient.

Lire également sur ce sujet l'interview de l'historien Vincent Lemire : « Trump n'a pas mesuré que Jérusalem est une ville-monde »

De la même manière, il s'est retiré de l'accord de Paris, a menacé de sortir de l'accord sur le nucléaire irakien. Un jour il vante les mérites du leader...

1 commentaire

  • 07 décembre 09:34

    Si Jérusalem est une capitale, c'est celle de la Palestine.


Signaler le commentaire

Fermer