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Iran: Marchal libéré, Macron exhorte à la libération d'Adelkhah
information fournie par Reuters 21/03/2020 à 11:36

IRAN: MARCHAL LIBÉRÉ, MACRON EXHORTE À LA LIBÉRATION D'ADELKHAH

IRAN: MARCHAL LIBÉRÉ, MACRON EXHORTE À LA LIBÉRATION D'ADELKHAH

PARIS (Reuters) - La France a confirmé samedi la libération du chercheur français Roland Marchal, détenu en Iran depuis juin 2019, et son retour dans la journée à Paris et a appelé à la "libération immédiate" de la franco-iranienne Fariba Adelkhah toujours emprisonnée sur le sol iranien.

Emmanuel Macron "est heureux d’annoncer la libération de M. Roland Marchal emprisonné en Iran depuis le mois de juin 2019. Il arrivera en France ce samedi 21 mars en milieu de journée", indique la présidence française dans un communiqué.

"Le président de la République exhorte les autorités iraniennes à libérer immédiatement notre compatriote Fariba Adelkhah toujours emprisonnée en Iran", ajoute-t-elle.

La perspective d'une libération de Roland Marchal s'était renforcée vendredi avec l'annonce via la presse iranienne - mais sans confirmation officielle des autorités françaises - d'un accord trouvé entre Paris et Téhéran sur un échange de prisonniers.

La chaîne de télévision publique Irib avait annoncé dans la soirée la libération du chercheur âgé de 64 ans en échange de celle de Jalal Ruhollahnejad, un ingénieur iranien dont les Etats-Unis réclamaient l'extradition pour infraction au régime de sanctions imposé par Washington à la République islamique.

Dénonçant une ingérence dans ses affaires intérieures, l'Iran avait jusqu'à présent rejeté les appels de la France en faveur de la libération de Roland Marchal et de Fariba Adelkhah, des détentions qualifiées d'"intolérables" par Emmanuel Macron en décembre.

Directrice de recherche au centre de recherches internationales de Sciences Po à Paris, Fariba Adelkhah, qui est âgée de 60 ans, a été arrêtée en juin par les Gardiens de la Révolution islamique sur des soupçons d'espionnage, passibles de la peine de mort en Iran.

En janvier, la justice iranienne avait abandonné l'accusation d'espionnage contre l'anthropologue - dont Téhéran ne reconnaît pas la double nationalité - qui reste toutefois accusée de propagande contre le système et collusion contre la sécurité nationale.

(Marine Pennetier)

1 commentaire

  • 22 mars 09:27

    ne pourrait il pas la fermer sa grande G.....E !


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