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Covid-19 : des "signaux d'alerte" en Occitanie et en Nouvelle-Aquitaine, prévient Gabriel Attal
information fournie par Boursorama avec Media Services 02/06/2021 à 13:54

Dans six départements du sud-ouest de la France, le taux de reproduction "est repassé au-dessus de 1, ce qui signifie que l'épidémie gagne de nouveau du terrain", a mis en garde le porte-parole du gouvernement.

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.  ( AFP / BERTRAND GUAY )

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. ( AFP / BERTRAND GUAY )

"Nous ne pouvons pas baisser la garde." Même si la situation globale s'améliore, la circulation du Covid-19 est repartie à la hausse dans plusieurs départements français du sud-ouest de la France, a averti mercredi 2 juin le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. "Si le niveau global de la circulation du virus est comparable à celui du début de l'automne dernier, des signaux d'alerte se font jour dans certains territoires ", a-t-il prévenu à l'issue du Conseil des ministres.

"En Occitanie, en Nouvelle-Aquitaine, nous constatons des hausses parfois sensibles de la circulation du virus", avec un taux de reproduction qui "est repassé au-dessus de 1, ce qui signifie que l'épidémie gagne de nouveau du terrain", a souligné Gabriel Attal. "Cette évolution défavorable est particulièrement marquée dans les Pyrénées-Atlantiques , où l'incidence a progressé de près de 80% sur une semaine" et "dans une moindre mesure en Charente-Maritime , dans le Lot-et-Garonne , en Charente , dans les Landes et en Gironde ", a détaillé le porte-parole du gouvernement.

"Le niveau de circulation du virus reste modéré (...), mais c'est la dynamique de progression qui constitue un signal d'alerte", a souligné Gabriel Attal appelant à ne "pas baisser la garde". Le porte-parole du gouvernement a toutefois estimé que "la première étape de levée des mesures de restrictions est réussie et n'a pas enrayé la diminution de l'épidémie". "Il faut maintenant inscrire cela dans la durée et se garder de crier victoire trop tôt ", a-t-il ajouté. "Le seul risque serait de lever les mesures trop rapidement, le risque serait aussi de nous relâcher trop rapidement", a-t-il insisté.

En France, le nombre de malades dans les services de réanimation est passé sous la barre des 3.000 dimanche, pour la première fois depuis fin janvier.

9 commentaires

  • 03 juin 08:04

    Surtout pas Mig737 !!! imaginez que les français découvrent alors que notre Président n'est en fait qu'un usurpateur !


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