Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Comment les médecins détectent les tendances suicidaires des pilotes
information fournie par Le Point 17/07/2015 à 17:43

Après le crash de Germanwings, l'Agence européenne de sécurité aérienne (EASA) intervient pour la première fois directement après un accident aérien et émet des recommandations à l'intention des États membres, mais aussi, comme c'est l'usage, à l'ensemble de la communauté aéronautique internationale. En charge de l'enquête technique d'un accident sur le territoire français, le BEA du Bourget, de son côté, prépare un rapport qui paraîtra dans quelques mois et fera apparaître dans le détail comment on en est arrivé à une telle situation et comment l'éviter.

Outre le fait qu'un pilote ne pourra rester seul dans un cockpit, l'EASA recommande un suivi psychologique des pilotes. En pratique, celui-ci existe déjà lors de l'admission dans les grandes compagnies aériennes européennes. Ainsi, à Air France, des tests et des entretiens très pointus sont menés, souvent cause d'échec pour des candidats jeunes ou moins jeunes tels que les pilotes militaires de 35 ans. Le profil recherché est, en effet, celui d'un navigant apte à devenir à terme commandant de bord du plus gros appareil de la flotte, car la progression de la carrière repose sur l'ancienneté. La sélection vise à écarter des candidats qui ne pourraient assumer un jour la gestion d'un équipage d'une vingtaine de navigants.

Repérer des « signaux faibles »

Puis, lors des visites médicales régulières, souvent annuelles, le médecin aéronautique juge...

Lire la suite sur Le Point.fr

2 commentaires

  • 17 juillet 18:07

    Humour facile, les pilotes sont les rois du zinc (au propre comme au figuré). Le CA du bar d'un aéroport ce sont les équipages qui l'assument et pas avec de la flotte je vous le garantis.


Signaler le commentaire

Fermer