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Attentat de Nice : "La police et les hôpitaux nous disent d'attendre"
information fournie par Le Point 15/07/2016 à 18:14

22 h 45, le 14 juillet sur la promenade des Anglais à Nice. Un camion fonce sur la foule, faisant au moins 84 morts, dont 10 enfants, et plus de 200 blessés. Certains s'en sortent avec des blessures légères, d'autres attendent des nouvelles de leurs proches disparus. Nombreux sont ceux qui viennent proposer de l'aide ou donner leur sang.

Laurence Olding, un Anglais vivant à Londres, raconte : « Nous étions en train de passer un agréable moment avec ma fiancée Catherine, quand nous avons vu le camion qui roulait à 50 ou 60 km/h. Tout le monde courait et j'ai sauté par dessus le mur de la promenade des Anglais et je suis tombé sur le béton. Je me suis cassé le poignet, mais nous avons été très chanceux, ce sont des blessures mineures. »

Faycal Chikr, quarantenaire originaire de Gand en Belgique : « Nous avons commencé à manger des sandwiches après la fête. Mon frère Rafik s'est éloigné à 50, 60 mètres pour fumer une cigarette. Le camion est arrivé, il roulait à une vitesse incroyable, il a écrasé tout le monde : des bébés, des enfants, des femmes, des vieux. On était à 3 mètres maximum du camion. Je n'ai pas vu le chauffeur. Aujourd'hui, nous n'avons pas de nouvelle de mon frère. Il a 33 ans. On est perturbé, ma mère me téléphone chaque seconde. On a essayé de lui téléphoner. La police...

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