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AffaireTapie: l'État n'a pas dit son dernier mot
information fournie par Le Point 15/12/2015 à 06:44

On n'est jamais assez prudent. Juste avant que la cour d'appel de Paris ne condamne Bernard Tapie à rembourser les 404 millions d'euros qu'il avait obtenus par voie d'arbitrage, l'homme d'affaires avait pris soin de placer ses deux principales sociétés sous procédure de sauvegarde. Cette action, intentée devant le tribunal de commerce, devait être le talisman contre une décision défavorable de la cour d'appel. Une fois prononcée, la « sauvegarde » offre en effet à l'entrepreneur un répit de six mois pendant lesquels l'action des créanciers et surtout celle de la justice est paralysée.

Sauf que le ministère public a trouvé une parade à ce qu'il considère comme une man?uvre de Tapie pour repousser le moment de payer. D'après les informations du Point.fr, le parquet de Paris vient d'interjeter appel de la décision du tribunal de commerce concernant les sociétés Groupe Bernard Tapie (GBT) et Financière et immobilière Bernard Tapie (FIBT). En clair : il s'agit pour l'État d'obtenir l'annulation des deux procédures de sauvegarde décidées les 30 novembre et 2 décembre derniers.

Récupérer une partie du magot

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2 commentaires

  • 15 décembre 09:01

    combien de milliards (16) pour la pomme des contribuables, qui sont passés par la structure de défaisance, suite aux investissements hasardeux du CL...., banque publique de l'état à l'époque des socialos? Tapie ne reprèsente que 400millions!!!!!!!


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