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SCPI : Magasins vacants : la ville de Périgueu

28 juin 2016 16:35

Magasins vacants : la ville de Périgueux passe à la taxe

La mesure concernerait les propriétaires de locaux vides depuis deux ans, dans l'agglomération de Périgueux
La mesure concernerait les propriétaires de locaux vides depuis deux ans, dans l'agglomération de Périgueux
Périgueux veut que l’Agglo crée une taxe sur les locaux inoccupés afin de réduire le nombre de friches

Locaux vides, volets baissés, vitrines abandonnées : environ 10 % des cellules commerciales de Périgueux sont inoccupées. Et certaines, depuis des années. Au mieux, on y voit fleurir des « boutiques éphémères », une des astuces pour garnir ces friches, ou elles revivent en permanence électorale, quand c'est l'époque.

Mais globalement, ces magasins vacants gâchent le paysage commercial local qui n'en a pas tellement besoin, entre la concurrence d'Internet et celle des galeries commerciales - quoiqu'elles sont touchées aussi par la vacance. Et surtout, ils racontent le paradoxe d'un hypercentre marchand fragile, mais aux loyers prohibitifs.

« La situation s'améliore, mais il reste beaucoup de friches », analyse l'adjoint au maire de Périgueux à l'animation commerciale, Bruno Dunoyer. Sans attendre la locomotive marchande qu'est censée incarner la future place Montaigne, l'élu a obtenu du Grand Périgueux une étude pour la mise en œuvre d'une taxe sur les friches commerciales, qui pourrait être appliquée dès 2017.

Fringale des promoteurs
L'idée est simple : taxer le propriétaire du local vide pour le pousser à vendre ou à louer, et si possible en baissant les loyers. Souvent, si une boutique est vide, c'est qu'elle ne coûte rien. « Ils n'ont pas toujours besoin d'argent, n'ont pas envie de financer des travaux de remise aux normes, par exemple », explique Bruno Dunoyer.

L'idée est simple : taxer le propriétaire du local vide pour le pousser à vendre ou à louer, et si possible en baissant les loyers
C'est l'autre souci local : la fringale de certains promoteurs qui s'accaparent plusieurs sites en différant leur rénovation et restent parfois injoignables. Soupire de l'élu : « Certains propriétaires ne savent plus très bien ce qu'ils possèdent… »

L'idée de cette mesure coercitive - permise depuis 2006, renforcée depuis 2013 - est aussi de remettre des boutiques sur le marché.

« C'est bien une mesure dans l'intérêt des commerçants et dans l'intérêt général, car la fiscalité sera mieux répartie », insiste Dunoyer.
La taxe est calculée sur la valeur locative et son taux est évolutif : 10 % la première année, 15 % la deuxième et 20 % la troisième. L'Agglo peut décider de doubler ces montants, ce que font beaucoup de collectivités (1). Pau, Cognac, Mont-de-Marsan : de plus en plus de villes y ont recours. À Dax, depuis 2015, on parle d'un « électrochoc ».

La liste publiée sur Internet
La mesure serait applicable partout dans l'Agglomération, où les centres des bourgs souffrent aussi, mais le périmètre des locaux concernés reste à définir. Si la mesure est votée, la liste des commerces vides sera transmise aux services fiscaux, qui se chargeront de faire payer les propriétaires. Cela dit, l'application de la taxe serait précédée d'une campagne de sensibilisation. Une « phase amiable pour privilégier le dialogue », espère Bruno Dunoyer. Et d'ici quelques semaines, la liste des locaux vides de Périgueux sera publiée sur le site de la Ville.

(1) Concrètement, la taxe vise les propriétaires de « murs » qui ne sont plus occupés par une activité soumise à la cotisation foncière des entreprises (CFE) depuis au moins deux ans - sauf en cas de redressement judiciaire ou contentieux.

52 réponses

  • 28 juin 2016 16:43

    À Bergerac, les commerces laissés vacants vont être taxés

    La mairie de Bergerac a recensé 40 friches commerciales dans le centre et une trentaine en périphérie
    Une taxe sur les friches commerciales va être soumise aux élus de la ville

    C'est un constat que chacun a pu dresser : dans Bergerac, un nombre effarant de boutiques sont laissées à l'abandon. Dans les venelles du centre-ville, on ne compte plus les commerces vacants, où seul un petit panneau indiquant « à vendre » ou « à louer » a été scotché à la vitrine.

    Le développement des centres commerciaux périphériques n'est pas la seule cause de cette situation. Une autre est le prix trop élevé des baux commerciaux, qui « découragent ceux qui voudraient s'installer », regrette l'adjointe au commerce, Nelly Rodriguez. La mairie a donc décidé de s'y attaquer en mettant en place une taxe sur les friches commerciales.

    Un dispositif progressif
    Cette mesure s'appliquera aux locaux « inexploités depuis au moins deux ans », précise l'élue au commerce. Calculée sur la base de la taxe foncière sur les propriétés bâties, elle est progressive : 10 % la première année, 15 % la seconde et 20 % la troisième. « Et elle peut être majorée dans la limite du double, si le Conseil municipal le décide », ajoute-t-elle.

    Dans Bergerac, un nombre effarant de boutiques sont laissées à l'abandon
    L'idée est de « pénaliser les bailleurs qui laissent dormir leur patrimoine et les inciter à diminuer leurs loyers », décrit Daniel Garrigue, le maire. Si cette taxe a vocation à s'appliquer à tout le territoire de la commune, c'est en centre-ville que le problème est le plus aigu. « Nous y avons recensé 40 friches, et une trentaine en périphérie », décrit l'édile. Mais d'autres avancent le chiffre de 77 pas-de-porte inoccupés dans le centre.

    L'idée est de « pénaliser les bailleurs qui laissent dormir leur patrimoine et les inciter à diminuer leurs loyers », décrit Daniel Garrigue, le maire.
    Cette taxe devrait faire entrer de l'argent dans les caisses de la ville, mais « ce n'est pas le but recherché », assure Nelly Rodriguez. Elle s'engage à ce que les sommes recueillies soient destinées « aux commerces, via des investissements ou des animations ».

    La CCI suit la mairie
    Si le dispositif est simple, le sujet est sensible. Ainsi, l'association de commerçants Action Bergerac commerce, qui en avait fait la promotion dans les colonnes du « Démocrate indépendant » du 31 mars, est désormais sur la réserve. Et ceux qui s'y opposent le font sous le sceau de l'anonymat. Ainsi, cette propriétaire préférerait « qu'ils diminuent la taxe foncière pour baisser les loyers, plutôt que de taxer à tout va ».

    Le président de la Chambre de commerce et d'industrie de la Dordogne regrette aussi que, « en France, voter des taxes soit un sport national. C'est un syndrome un peu agaçant ». Cependant, dans le cas précis, Christophe Fauvel avoue trouver « incompréhensible la politique de certains propriétaires » qui pratiquent des loyers trop élevés :

    « Tous ces commerces fermés donnent une piètre image de la ville. »
    Pour lui aussi, « ces prix découragent moult initiatives ».

    Il se range donc à l'idée de cette taxe : « On ne peut pas laisser faire les choses sans bouger. Les politiques n'ont pas 36 leviers pour agir. Celui-ci en est un. Et quand on touche au portefeuille, cela fait souvent réagir. Mais si la véritable intention est de redynamiser la ville, il faut que chaque euro de cette taxe revienne aux actions commerciales. »

    Ce dispositif sera soumis au vote des élus lors du prochain Conseil municipal, jeudi 28 avril, pour entrer en application à partir du 1er janvier 2017. Il sera complété d'une seconde mesure, elle aussi destinée à booster le commerce : le recrutement d'un manager de centre-ville.


  • 28 juin 2016 16:48

    Résumons plutôt


    Taxer les commerces vides
    « L'objectif de cette taxe annuelle est de dissuader les propriétaires de laisser des locaux commerciaux à l'abandon et de les inciter à les remettre sur le marché quitte à consentir une baisse de loyer. Les tarifs sont trop élevés ce qui dissuade les repreneurs éventuels », explique Jean-Marie Lincheneau.

    L'instauration de cette imposition s'appliquera de la manière suivante. « La CFE augmentera de 20 % la première année, 30 % la suivante, pour atteindre 40 % la troisième année. »

    Une mesure qui pourrait faire boule de neige : la désertification commerciale frappant toute l'agglomération cherbourgeoise.


  • 28 juin 2016 17:00

    Indre - Châteauroux -
    Les locaux vacants seront taxés

    Le maire de Châteauroux adresse un message très clair aux propriétaires.

    Gil Avérous annonce des mesures pour redynamiser le centre-ville.

    Gil Avérous partage ce constat : « Comme sur toutes les villes de moins de 250.000 habitants, il y a un problème, sur Châteauroux, de vacances commerciales ».Deux raisons à cela, selon lui : « Les locaux sont inadaptés et les loyers sont chers ».Si le maire ne peut influencer directement les tarifs appliqués, il a décidé de mettre en place une taxe sur les friches commerciales. « Elle s'appliquera sur les commerces vacants depuis plus de deux ans. Elle sera lancée au cours de l'année 2016 pour effet en 2017. » Cette « surimposition pour le propriétaire » sera calculée sur la taxe foncière bâti, sans doute de l'ordre de 10 % la première année, 15 % la deuxième et 20 % la troisième. « Je veux qu'on tire tous dans le même sens, justifie le maire. Il ne faut pas que chacun déplore que le commerce se meure mais qu'on se mette autour de la table et qu'on y travaille. Nous, on prend notre part en portant le projet Cœur d'agglo et des travaux importants au centre-ville. » Le message s'adresse aux propriétaires.


  • 28 juin 2016 17:05

    Albi


    La ville met en place une taxe sur les commerces vacants

    La situation du commerce de centre-ville est un sujet qui continue à faire débat. Hier soir, le maire a annoncé en conseil municipal la mise en place d'une taxe annuelle sur les commerces inoccupés. Cette mesure s'appliquera à compter du 1er janvier 2017 pour les locaux non-utilisés depuis au moins deux ans à l'exception indique Stéphanie Guiraud-Chaumeil «des cas de redressements judiciaires, des lieux en travaux, des contentieux ou des biens qui sont au prix du marché et qui ne trouvent pas preneurs.» Cette taxe vise donc les propriétaires trop gourmands au niveau du loyer ou qui ne font aucun effort pour trouver un occupant. Rendue possible par le Code général des Impôts, elle sera de 10 % la première année et progressera par la suite si le local reste vacant. Une mesure destinée à lutter contre les vitrines vides dont l'effet est désastreux pour l'image du centre-ville.

    «Nous ne voulons pas gagner des sous. Nous nous engageons à réaffecter toutes les sommes perçues au commerce comme par exemple les animations» souligne le maire qui annonce un «plan d'action» dont les détails seront dévoilés avant l'été aux commerçants. Et de donner un exemple du montant de cette taxe.

    Dans les rangs de l'opposition, le socialiste Christophe Ramond propose d'autres mesures : «Il faut traiter le problème de la circulation et du stationnement. Pourquoi pas des places gratuites le samedi après-midi ? Nous aimerions aussi une politique plus ambitieuse sur les parkings-relais avec des navettes.» Christophe Ramond énumère ses propositions : des boutiques éphémères, des commerces à l'essai avec des loyers modérés ou encore des vitrines numériques là où se trouvent les friches. Fabien Lacoste (PS) rappelle le niveau élevé des grandes surfaces dans l'agglomération : «1,4 mètre carré de grandes surfaces par habitant contre 0,76 de moyenne nationale.» Frédéric Cabrolier (FN) dénonce lui, «une taxe de plus». Et de regretter que dans le même temps, de nouveaux projets en périphérie voient le jour : «l'arrivée de Grand Frais sur Lescure, de surfaces d'habillement à la place des bâtiments Escaffre sans parler du Leroy Merlin.»

    Roland Foissac (PC) est sévère évoquant une «mesurette un peu mesquine de taxation des propriétaires». Et d'inviter plutôt les élus à se mobiliser «pour le pouvoir d'achat pour que les familles se réapproprient le centre-ville.»

    Dans la majorité municipale, les réponses ne tardent pas. Muriel Roques-Etienne indique la présence de «1 700 places gratuites de stationnement en centre-ville». Stéphanie Guiraud-Chaumeil démonte une à une les propositions des socialistes dont les boutiques à l'essai : «une mesure coûteuse qui correspond aux petites villes mais pas à une ville de la taille d'Albi». Jean-Michel Bouat souligne les efforts d'adaptation du réseau Albibus pour faciliter l'accès au centre-ville «avec un site propre, du cadencement toutes les 15 minutes sur la ligne R qui dessert des parkings-relais.»

    Après un long débat, la taxe est finalement adoptée par les élus de la majorité. Les trois conseillers FN votent contre, la gauche s'abstient.


  • 28 juin 2016 17:09

    Zut, je ne peux pas copier coller pour Boulogne


  • 28 juin 2016 17:11

    Ni pour St Omer


  • 28 juin 2016 17:17

    La communauté de communes aurait mieux fait de se taire au lieu de faire sa maline. Le comité citoyen de défense du Vieux-Vierzon avait suggéré de taxer les propriétaires de vitrines non entretenues. La communauté de communes avait bondi sur son cheval blanc pour rappeler, dans la presse, que cette mesure existait pour les locaux commerciaux et administratifs non exploités depuis AU MOINS cinq ans par leurs propriétaires. Autant dire que la communauté de communes qui a pondu cette règle ne l'applique absolument pas et a surtout voulu clouer le bec du comité citoyen de défense du Vieux-Vierzon qui veut faire ce que la communauté de communes est incapable de faire. A part distribuer l'argent public par les fenêtres pour un bowling ou un centre routier véreux, on ne voit pas bien à quoi elle sert. Figurez-vous que rue Joffre, justement, le périmètre d'action du comité citoyen de défense du Vieux-Vierzon, il y a une vitrine vide et pourrie parmi d 'autres. On sait même depuis quand elle n'est plus exploitée : depuis 2008 ! Cela fait sept ans non ? Plus que cinq ! Les élus de la communauté de communes ne doivent pas s'y promener souvent dans la rue piétonne ! Et quand bien même, ils ne feraient pas appliquer cette règle. C'est que c'est fatiguant de s'occuper de ce genre de choses.

    Lors de sa création, le Comité de défense du vieux Vierzon avait émis l'idée de créer une taxe sur les commerces vides. Elle existe déjà, mais ça on le savait ! Il ne suffit pas que quelque chose existe pour qu'elle soit efficace, la preuve avec la Sem-Territoria, par exemple ! Or, nous explique la presse locale, cette taxe est votée par la communauté de communes et s'applique, accrochez-vous au bastinguage, aux locaux commerciaux et administratifs non exploités depuis AU MOINS cinq ans par leurs propriétaires. Autant dire que dans ces cas-là, la communauté de communes n'en rame pas une ! Allez jetez un oeil du côté de la rue Joffre et attendez encore cinq ans pour certains commerces. Quand on ne veut pas prendre ses responsabilités, on vote des décisions à la noix. Celle-ci n'a rien d'incitative. Au contraire. Le comité citoyen de défense du vieux-Vierzon réitère sa demande : créer une taxe INCITATIVE qui ne soit pas un écran de fumée pour lutter EFFICACEMENT et RAPIDEMENT contre les friches commerciales. Ah ! Quel bonheur de rire de ce genre de lecture !


  • 28 juin 2016 17:20

    Parenthèses urbaines" : Gaillac expose sur les vitrines des commerces vacants (81)

    La ville de Gaillac a souhaité dynamiser son centre-ville. Depuis le mois de novembre 2012, les vitrines des commerces inoccupés sont prétextes à une exposition de photos à ciel ouvert. Un projet porté par les élus.
    Dans un triangle entre Albi, Toulouse et Montauban, Gaillac (14.000 habitants) a lancé un plan de redynamisation de son centre-ville, avec notamment des aménagements piétonniers et une charte de qualité urbaine pour les commerçants. Restait en suspens la question des commerces vacants qui, devenus la cible de l’affichage sauvage, dépréciaient les rues concernées. Pour enrayer le cercle vicieux, la municipalité a mis en œuvre un projet de vitrines décorées, sur le modèle d’expériences menées dans d’autres villes, notamment Vitr’In à Saint-Etienne.
    Première étape : retrouver les propriétaires

    "Le projet répond à deux problématiques du centre-ville : supprimer la nuisance visuelle qui enlaidit les rues et valoriser des locaux commerciaux vacants", indique Martine Dumas, adjointe à l’économie et au développement durable de la ville de Gaillac. Dans cet esprit, dès le départ, la démarche a été portée par deux élus : l’adjoint à la vie quotidienne et l’adjointe à l’économie. Afin d’assurer une bonne visibilité à l’opération, la ville a choisi de se concentrer dans une première étape sur deux rues. La principale difficulté du projet a consisté à retrouver les propriétaires des commerces vacants. Au printemps 2012, ce travail est effectué par le service Urbanisme de la ville, en partenariat avec la communauté de communes Tarn et Dadou (29 communes, 51.000 habitants) qui détient la compétence économique du territoire. Les propriétaires identifiés ont reçu un courrier leur présentant le projet - intitulé Parenthèses urbaines - et une demande d’autorisation d’utiliser leurs vitrines. Cette demande était accompagnée d’une offre de prise en charge de la totalité du nettoyage des vitrines. Or il y avait jusqu’à cinq couches d’affiches ! Après ce premier contact par courrier, les services ont effectué une relance téléphonique auprès des propriétaires, et reçu d’emblée douze réponses positives, certains préférant attendre la première expérience avant de participer.


  • 28 juin 2016 17:27

    Vos solutions pour que le commerce du centre-ville de Perpignan relève la tête


    La rue de la Loge est moins touchée que d'autres par la fermeture de commerces. Ici la boutique de chaussures by Sasha a déménagé rue des Trois des Journées.
    Râler c'est bien mais proposer c'est mieux! C'est en partant de ce constat qu'une large consultation avait été menée par L'Indépendant sur son site internet. Nous publions pour la première fois ces résultats, parfois surprenants mais qui sont surtout une grande foire aux idées pour relancer le commerce du centre-ville de Perpignan. Décryptage.

    Si le nombre de locaux vacants a baissé en un an dans le centre-ville de Perpignan, la santé du commerce du coeur de ville est toujours aussi fragile voire chancelante. Lors de notre première enquête sur le sujet, fin 2014, les internautes de lindependant.fr avaient été sollicités pour faire leurs propositions. C'est le fruit de vos réflexions que l'on développe ci-dessous.

    Le constat
    On ne s'enflamme que pour ce que l'on aime le plus! Parce que s'il y a bien une idée forte qui ressort de notre consultation des internautes de lindependant.fr (et c'est l'une des surprises), c'est que vous l'aimez votre bonne ville de Perpignan! Mais si vous l'aimez au point que tout débat qui lui est consacré en devient terriblement passionné, vous n'êtes pas prêts à tout lui pardonner. L'amour à une ville ne rend visiblement pas aveugle, lui.

    Ainsi, Perpignan attire la population des Pyrénées-Orientales pour "son coeur historique", "son ambiance de ville du sud" et "sa vie nocturne" mais aussi parce que "c'est une ville à échelle humaine", qu'elle "est jolie et unique" à vos yeux.

    Mais la ville centre du département irrite aussi profondément. "La sécurité et la propreté laissent à désirer". Ce sont les deux griefs qui reviennent le plus souvent avec le stationnement. "Pas assez de parking qui est hors de prix" et "le plan de circulation est à revoir totalement". Au niveau du shopping, "le centre-ville se désertifie, l'offre diminue" et "aucune grande marque de prêt à porter ni de déco ou autre" n'y trône selon vous. Ce qui n'est pas tout à fait vrai non plus.

    Vos solutions
    Parking. S'ils mélangent souvent parking souterrain et de surface, nos internautes sont parfaitement lucides et ne réclament pas la gratuité du stationnement en centre-ville. Ainsi ils sont 52% à souhaiter clairement un stationnement moins cher voire gratuit en partie, ce qu'il est déjà entre 12h et 14h et après 18h en semaine et le samedi après-midi ainsi que le dimanche mais qui semble avoir été oublié par beaucoup de gens. Pour le reste, des zones bleues (parking gratuit 1h ou 2 puis payant) ainsi que des parcs relais figurent en bonne place dans la liste de vos propositions.

    Une proposition parmi d'autres: "Stationnement de surface totalement gratuit, parkings souterrains payants".

    Locaux vacants. Les taxes! Elles obnubilent les professionnels mais aussi leurs clients et sont, pour beaucoup, la clé du changement. Pour 38% des participants à notre consultation, il faut taxer les propriétaires qui préfèrent laisser les locaux vides que de baisser leurs loyers. A l'inverse, vous êtes 27% à vouloir faire baisser les impôts des propriétaires... pour qu'ils baissent leurs loyers. Enfin, des solutions radicales (exproprier) en côtoient d'autres plus consensuelles comme la création d'un poste de manager du centre-ville pour faire le lien entre propriétaires et locataires.

    Une proposition parmi d'autres. "Intéresser les propriétaires aux résultats du commerce s’ils louent moins cher".


  • 28 juin 2016 17:31

    Montpellier : "18 % des commerces sont vacants en centre-ville" En bas de la galerie du Triangle, dix pas-de-porte sur quatorze ont baissé le rideau.

    L a Faduc, qui regroupe les différentes associations de commerçants, a fait réaliser un constat d'huissier.

    C'est un document des plus intéressants que vient de faire réaliser la Faduc, la fédération des associations de commerçants, d'usagers et de consommateurs du grand Montpellier . Une analyse "pour en avoir le cœur net", réalisée par un huissier, "mandaté pour dénombrer les commerces vides en centre-ville". Le résultat est jugé "accablant". "Nous sommes largement au-dessus du seuil fatidique des...

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  • 28 juin 2016 17:51

    Tiens, tiens, Epernay

    Des galeries éphémères dans des commerces vides d'Epernay
    Rédaction en ligne

    Afin de combler le vide laissé par les commerces vacants, l’association Espace Chromatic a eu la judicieuse idée de transformer deux de ces lieux actuellement dénués d’activité, en galeries [...]


  • 28 juin 2016 20:26

    Face aux zones commerciales de périphérie, le centre-ville ne fait plus le poids

    Délaissés par les consommateurs au profit des zones marchandes de périphérie, les centres-villes français souffrent. Pour Procos, il devient urgent d'agir, notamment sur les loyers commerciaux, sans quoi la tendance, déjà inquiétante, s'aggravera dans les années à venir.

    C’est un chiffre inquiétant, qui témoigne de la sensible fragilisation des cœurs d’agglomérations ces dernières années. En 2013, 46 centres-villes français affichent un taux de vacance commerciale supérieur à 10 %. C’est deux fois plus qu’en 2001, et ce alors même qu’à l’autre extrémité, le nombre de centres-villes bénéficiant eux d’une situation favorable, c’est-à-dire de moins de 5 % de vacance, est lui passé de 87 à seulement 38.
    Globalement, le taux de vacance commerciale dans les centres-villes français atteint 7,8 % en 2013, contre 6,3 % en 2001. Les centres des petites villes, déjà plus affectés par le phénomène en 2001, ont été les plus touchés par cette dégradation. En fait, seules les métropoles de plus de 500 000 habitants ont connu une amélioration de leur situation (de 8 % à 7,1 %).
    "La conjoncture est un facteur aggravant mais pas déclencheur. Le phénomène a émergé bien avant 2008. C’est ce qui le rend d’autant plus inquiétant", souligne Pascal Madry, directeur de la fédération Procos, à l'origine de l'étude. Deux facteurs concourent depuis des années à la fragilisation des centres-villes. D’abord l’étalement urbain : la croissance citadine s’effectue principalement "en mode centrifuge", conduisant à la dispersion d’une part croissante de la population (et donc des consommateurs) en deuxième et troisième couronne des villes. "La France compte toujours plus d’urbains, mais des urbains toujours plus éloignés des centres-villes", résume Pascal Madry. Ensuite le développement du parc commercial dans les périphéries, qui ont accueilli les trois quarts des quelque 70 millions de mètres carrés sortis de terre depuis 2001. "Des espaces commerciaux souvent articulés autour d’hypermarchés, et qui ont tendance à retenir les populations périurbaines".

    Des pistes pour inverser la tendance

    Ces deux phénomènes ont mécaniquement affaibli le poids relatif des centres-villes dans l’armature commerciale des territoires. "Et cela sans même évoquer l’essor du commerce en ligne, ou les chocs de consommation dus à la crise. Le mouvement est enclenché et si rien ne bouge, il perdurera", prévient le directeur de Procos.
    Seule une politique ambitieuse de revitalisation des centres-villes pourrait, selon le spécialiste, inverser la tendance. "Le coût locatif est le premier facteur qui fait fuir les commerçants hors des centres-villes : il faudrait commencer par en maîtriser la hausse", estime-t-il. "Les centres-villes doivent par ailleurs redevenir des lieux de flux et de destination : il faut y remettre des bureaux, des équipements publics, bref y favoriser la mixité", poursuit-il. Enfin, insiste Pascal Madry, "l’équilibre doit être rétabli entre projets commerciaux de périphérie et de centre-ville".
    Faute de quoi d’autres noms risquent bientôt de venir allonger la liste des villes françaises – elles sont 14 aujourd’hui, dont Arras, Béziers, Châteauroux, Lens, Perpignan, Roubaix ou Tourcoing - dont même les secteurs dits "numéros 1" sont sinistrés.


  • 28 juin 2016 20:31

    Vichy, + de 15% de vacance dans le commerce.

    A Vichy, dans l’Allier, toutes les demandes de logement social sont satisfaites en quinze jours. « Nous proposons des appartements dans des immeubles rénovés, au bord du lac », précise Frédéric Aguilera, l’adjoint au maire chargé de l’urbanisme. Avec 4 700 logements vides, soit 22 % de son parc, la ville thermale de 25 000 habitants est en effet championne de France de la vacance.
    En dépit de la pénurie de logements sans cesse dénoncée, il existe des villes où les logements vides atteignent une proportion parfois inquiétante : 29 000 à Nice (Alpes-Maritimes, 12,8 % du parc), 7 200 à Avignon (Vaucluse, 14,3 %), 7 500 à Mulhouse (Haut-Rhin, 13,6 %), 7 000 à Béziers (Hérault, 16,7 %). Selon nos calculs, issus des données de l’Insee, 42 communes de plus de 8 500 logements affichent un taux de vacance supérieur 12 %, et ce phénomène discret s’amplifie. En dix ans, le nombre de logements vides est passé, au plan national, de 1,9 million en 2004 à 2,64 millions en 2014. Le taux de vacance a ainsi grimpé de 6,3 % à 7,8 %.
    Le parc social est aussi localement touché : dans toute la France, 129 000 logements HLM attendent un locataire. De quoi relativiser la pertinence de l’objectif national, maintes fois proclamé et jamais atteint, de construire 500 000 logements, dont 150 000 sociaux. « Ce qui est absurde, c’est qu’on nous demande de construire à Vichy des logements sociaux, pour atteindre les 20 % qu’exige la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU), alors que nous sommes à 15 %. Mais si je construis de nouveaux immeubles, je vide les anciens...


  • 28 juin 2016 20:58

    Cavaillon va taxer les friches commerciales

    Pour lutter contre les magasins abandonnés et dégradés du centre-ville, la mairie de Cavaillon a décidé de s'attaquer au portefeuille de leurs propriétaires. A partir de 2017, ils seront taxés pour les magasins fermés depuis 2015 et le taux de cet impôt sera progressif d'année en année en cas de fermeture prolongée.


  • 28 juin 2016 20:59

    Issoudun

    Contenu réservé aux abonnés


  • 29 juin 2016 06:33

    C est intéressant.
    Pourriez vous donner la DATE de chaque copie d'article (ou au moins pour la prochaine fois)?
    Car ce qui peut être vrai dans tel cas une année, peut ne plus l'être celle d après.
    Merci


  • 29 juin 2016 12:31

    goiz 06:33 - 29.06.2016 0
    "C est intéressant.
    Pourriez vous donner la DATE de chaque copie d'article (ou au moins pour la prochaine fois)?
    Car ce qui peut être vrai dans tel cas une année, peut ne plus l'être celle d après.
    Merci"

    Toutes les dates sont récentes.

    Ce que j'ai mis sur le fofo, ça correspond surtout à des villes qui ont voté l'instauration d'une taxe sur les friches commerciales.

    Elles s'y sont mises récemment, à l'incitation du gouvernement.

    Par contre, si vous pensez que la situation peut s'améliorer, je crois que vous vous mettez le doigt dans l'oeuil jusqu'à l'omoplate.

    J'ai trouvé une carte des villes qui ont plus de 12% de logements vacants, et ça correspond assez bien à la carte des commerces vacants.

    De la ville sinistrée à gogo.

    Plus de 40 villes en France dépassent les 12% de logements vacants, leurs commerces ne vont pas mieux, et les bureaux sont là pour ajouter au gag.

    Nos SCPI adorées ont acheté un peu partout tout ce que les locaux leur vendaient à prix d'or.

    Tout ça est mort et enterré, rien ne va ressusciter.

    Reste plus qu'à expliquer aux personnes concernées, qu'elles auraient tort de s'attaquer à nos tites zaffaires.


  • 29 juin 2016 12:53

    marnil

    Si ça se trouve, je suis censuré à la demande de ceux que je souhaite toucher.

    Ils ont lu si ça se trouve, même si je me fais très probablement beaucoup d'illusions.

    Donc, je suis très bien ici.


    Sinon, vos bagarres avec vos anciens copains, je ne vais surtout pas m'en mêler, je ne suis pas concerné et je ne veux surtout pas l'être.


  • 29 juin 2016 13:28

    Un truc que j'ai remarqué, c'est que le dossier de presse sorti par Procos est peut être très en dessous de la réalité.

    1) Prenons le cas de Périgueux.

    Pour procos, c'est une des rares villes qui va très bien.

    Dans la ville (voir le premier post de cette file), ils n'ont pas l'air d'être d'accord avec ce diagnostique.

    2) Montpellier ne fait pas partie de la liste des villes avec plus de 15% de vacance dans le commerce publiée par procos.

    Si mon post n'a pas été censuré, on verra qu'un contrôle fait par huissier (donc, à priori, sérieux) dénombre 18% de vacance dans le centre ville.

    Il s'agit peut être d'un problème de périmètre différent dans les 2 études (ça commence où, et ça finit où, un centre ville?)


  • 29 juin 2016 13:34

    Sur la censure ne soyez pas paranos, parfois les posts sautent, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi.
    Repostez, changez quelques lettres ou mots, ca finit par y rester. Suffisamment pour que ca soit lu.


  • 29 juin 2016 13:42

    Quand je pense passer à l'action?

    Quand on parlera des statuts de Cifocoma, vers novembre, il me semble.

    D'ici là, je prépare mes dossiers, je rassemble de la doc, je vais faire pas mal de visites façon 86 rue d'Alesia, bref, je ne compte pas arriver à la bagarre les mains vides et m'apercevoir que la partie adverse a tout blindé.

    Faut jamais sous estimer l'adversaire.

    Je m'en méfie beaucoup.

    Je dirais même énormément.

    Si vous pensez les faire reculer sans des dossiers hyper solides, on va juste se faire ratatiner.

    Vaut mieux trop se méfier que pas assez.


  • 29 juin 2016 14:01

    En fait, la censure, je fais avec.

    J'essaie de bien respecter la charte de bourso.

    Sinon, quand j'en serai vraiment au dossier sérieux, ça ne sera pas sur le forum, à la vue de tous, c'est sûr.


  • 29 juin 2016 22:12

    1/ M720...., j'apprécie beaucoup vos messages.
    2/ M270... & tgi-marnil-jjxx, vous souvenez-vous des fables de votre enfance ?La lutte du pot de terre contre le pot de fer ? du vote d'associés contre l'application d'un texte réglementaire ?
    Rien (en tout cas pas vos arguments) ne pourra pousser un gérant à affronter son autorité de contrôle, ni en avril, ni en novembre.


  • 30 juin 2016 16:18

    message censuré, on recommence.


  • 30 juin 2016 16:23

    M720 ... vous voulez contractualiser (ou réglementariser ?) via l'AMF un catalogue de "bonnes pratiques professionnelles".
    Vous avez raison, c'est indispensable pour les gestionnaires défaillants, même si c'est inutile pour les bons .
    message ci-dessous, un énoncé de bonnes pratiques:


  • 30 juin 2016 16:23

    Pour saisir les meilleures opportunités, tout est passé au crible : prix, situation géographique et labels environnementaux de l'immeuble, qualité du locataire, durée du bail (le plus long possible), perspective de plus-values,... "La stratégie est la même que si nous achetions des immeubles en France. Nous analysons de près les prix d'acquisition. Nous nous positionnons davantage en Italie, en Slovénie ou aux Pays-Bas qu'en Allemagne où les prix sont devenus assez chers", indique Frédéric Puzin. La SCPI Corum vient d'acheter, notamment, un immeuble commercial aux Pays-Bas occupé par le siège de Foot Locker. Autre acquisition, un immeuble de logistique dans la province de Padoue, au nord-est de l'Italie. Cet investissement génère un rendement immobilier de 7,54%.

    Autre exemple, la SCPI Primovie, investie dans le secteur de la petite enfance et de l'éducation, achète des crèches en Allemagne et des structures pour les personnes dépendantes. Elle a fait récemment l'acquisition d'une école internationale en banlieue de Milan, louée à un groupe leader du marché italien de l'éducation privée.


  • 30 juin 2016 16:25

    Nombreuses censures pour un texte qui respecte la charte de boursorama.

    On sent que mon texte, très mesuré, parfaitement respectueux des lois et règlements, gêne beaucoup certaines personnes.

    J'en conserve donc une copie que je ressortirai le moment venu.


  • 30 juin 2016 16:27

    non mais il suffit d'un mot et hop ca saute tout seul. La on na pas le temps de le lire, personne n'est derriere.


  • 30 juin 2016 16:29

    pa 27, je n'ai pas les mêmes soutien que vous, mes réponses sont systématiquement censurées.

    Il me semble difficile, dans ces conditions, d'établir un dialogue serein, voir un dialogue quelconque.


  • 30 juin 2016 16:35

    envoyez-les moi par mail on va les poster vos messages


  • 30 juin 2016 17:19

    ou trouvez un autre forum pour échanger, où la modération serait plus "satisfaisante" qu'ici.... (ou créez le au besoin : un blog peut suffire)


  • 30 juin 2016 17:41

    Pour un forum modéré plus intelligemment, je suggère:
    www.devenir-rentier.fr


  • 01 juillet 2016 14:11

    Marnil, vous n'avez pas compris : je suis passionné par mon dossier sur les friches commerciales et les friches tertiaires.

    Je pense qu'on peut monter quelque chose d'explosif sur le sujet.

    Par contre vos trucs de techniques pour toucher les associés, c'est très bien.

    Mais c'est votre spécialité.

    Je sais que ça vous plaît.

    Montez votre dossier dans ce sens, pendant que je continue de monter tranquillou le mien sur ce qui m'amuse.

    L'essentiel, c'est qu'on ait chacun un truc prêt au moment opportun.

    D'autres vont agir eux aussi, chacun dans son coin.

    Rien n'empêche de déclencher plusieurs actions, plusieurs feux d'artifices, ça peut être rigolo.

    Il faut savoir joindre le ludique à l'utile.


  • 01 juillet 2016 14:30

    Le moment venu, si vous voulez un ti coup de main pour vos envois, je pourrai vous aider, à condition que ça soit coordonné avec karsenty et les autres, pas un prétexte à bagarre dans le CS.

    Ce que je fais sera plutôt destiné à la presse, si je trouve un journaliste intéressé.

    Donc complémentaire.


  • 13 juillet 2016 18:58

    Dans son édition de ce mois de mars, le Journal des entreprises des Côtes-d'Armor publie pour la sixième année consécutive les résultats de l'enquête "Commerce à Saint-Brieuc". Avec 180 commerces vides, note le mensuel dans son enquête, contre 149 en 2015, la préfecture des Côtes-d'Armor s'enfonce dans la crise. En un an, 31 boutiques supplémentaires ont baissé le rideau. Le taux de vacance commerciale atteint 30,2 % en 2016 contre 15,1 % en 2011. En y regardant de plus près, le Journal des Entreprises précise que tous les quartiers sont concernés. A commencer par l'emblématique artère commerçante Saint Guillaume/Charbonnerie : elle compte 18 cellules vides en 2016 contre 2 en 2011 ! De son côté, le quartier de la gare compte 15 pas-de-porte fermés. Le baromètre "Commerce à Saint-Brieuc" du Journal des entreprises des Côtes-d'Armor est accompagné d'une galerie de photos des 180 cellules vides du centre-ville briochin.


  • 27 septembre 2016 17:41

    Pour sgoerli


  • 21 octobre 2016 16:56

    Cet article en
    parle:
    http://www.marianne.net/commerces-centre-ville-situation-alarmante-commu nes-moyennes-100247206.html


  • 21 octobre 2016 19:27

    Merci pour l'article, qui renvoie à un rapport gouvernemental que je vais tacher de me procurer.


  • 22 octobre 2016 00:52

    On se fait concurrence. Cela laissera moins de temps a M72 pour aller frimer et délirer sur le forum immo.


  • 22 octobre 2016 14:43

    Il y en a qui s'amusent a censurer marnil. Ca ne sert pas a grand chose mais bon.


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