MICROSOFT : la fin d un business model ?

Profil supprimé

12 janv. 2015 •11:39

MICROSOFT France pratiquerait-il le délit de favoritisme parmi ses partenaires ?

C'est une question qui manifestement dérange l'éditeur, mais il me parait impossible qu'une personne sincere et objective ne se la pose en lisant ce qui suit.

Les partenaires de Microsoft ont droit à 100 licences client Windows gratuites par ci, 100 licences Office par là. Dans la réalité, l'épisode relaté ici montre bien qu'un (ou certains ?) partenaire peut déclarer ce qu'il veut à l'éditeur sans être jamais inquiété.
J'ai posté le 20 octobre dernier sur les forums boursorama du groupe Open et de Microsoft Corp, un message relatant la fraude à la licence avérée du groupe Open fin 2009. Dans ce post, je me demandais comment le groupe Open avait fait pour passer au travers des mailles du filet de l'éditeur.
Ce qui rend la chose encore plus incompréhensible, c'est que cette fraude était parfaitement connue de Microsoft France. Un montant de 200 000 € fraudé semble peu de chose pour Microsoft mais soyons cohérent : A quoi bon mettre en place des codes éthiques et autres charte fournisseurs si on ne les respecte pas ou si on ne les fait pas respecter. Ces codes seraient-ils de simples opérations de communication vis-à-vis des actionnaires et des marchés ? Mon message, quant à lui, m'a coûté ma radiation des 2 forums. Vous disiez ? un pays libre et démocratique ?

Je disais dans ce post que, si Microsoft France tolère qu'un de ses partenaires ne paye pas ses licences, il n'y a aucune raison pour que les autres partenaires ne les payent. Il ne devrait pas y avoir de favoritisme parmi les partenaires et encore moins de passe-droit du fait de la position du président d'Open au Syntec Numérique.
Vous avez dit équité ?

J'invitais aussi les éditeurs tels que Microsoft à remonter leur niveau d'exigence dans le choix de leurs partenaires et qu'ils les laissent utiliser gratuitement leurs produits et services en interne. Les relations entre éditeurs et partenaires n'en seraient que plus saines et constructives !
Enfin, je vous invitais vous, lecteurs de ce post, à le diffuser avant qu'il ne soit de nouveau effacé et de le diffuser ici et ailleurs.
Sans réaction de la part des autres partenaires et pourquoi pas du marché, le groupe Open et l'éditeur Microsoft France continueront leurs petits arrangements entre amis ... à vos dépens.