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Marchés émergents : Investir en Afrique...

10 mars 2008 19:37

Comme je sais que vous êtes bien au coeur des small caps à l'international, j'aimerais vous demander votre aide.

J'aimerais bien investir en Afrique mais je trouve pas les produits adaptés (parts de SCP ou autres).

Pouvez-vous m'orienter ?

Je voudrais investir dans le tourisme africain, et notamment dans les parcs résidentiels destinés aux européens : comme ça se fait en ce moment au Maroc et en Tunisie avec le bétonnage des cotes.

En effet, je pense que l'inflation sera très importante ces prochaines années (rééquilibrage masse monétaire - rééquilibrage sur les salaires mondiaux) et qu'il y aura de + en + de retraités susceptibles d'aller s'installer dans des pays chauds et à bas couts (cout de la vie va devenir trop onéreux en France avec l'inflation et les retraites ne pourront être revalorisées).

Merci pour vos pistes.

6 réponses

  • 30 mars 2008 12:37

    blog trés interessant avec lien entre autres sur divers sites africains
    jetfin.blogspot.com/
    Jet fin est un hedge funds, ils en ont un sur l'afrique.
    Il y a aussi HSBC Afirca


  • 30 mars 2008 12:42

    Les hedge funds fondent sur l'Afrique 13:50 14/03/08
    , la «dernière frontière»

    . L'année écoulée a vu un décollage fulgurant des investissements alternatifs au sud du Sahara, qui atteignent 7 milliards de dollars. La liquidité et la vente à découvert posent problème.


    Myret Zaki le temps
    Vendredi 14 mars 2008



    «L'intérêt des hedge funds pour l'Afrique est fou!» témoignait jeudi un gérant venu de Londres, avant le début de la conférence organisée par Jetfin, à Genève, sur les hedge funds et l'Afrique. «Les fonds alternatifs ont récolté 6 milliards de dollars l'an dernier, poursuit notre interlocuteur. Il y a trois ans, il n'y avait pas plus de deux bons gérants alternatifs sur l'Afrique. Ils sont 35 aujourd'hui dans le monde.» Il se presse d'entrer dans la salle, où se bousculent les participants.

    Les fonds alternatifs, qui gèrent 7 milliards de dollars en Afrique, dont 5 milliards en Afrique du Sud, ont généré des gains entre 40% et 60% l'an dernier. L'Afrique, en particulier subsaharienne, reste extrêmement sous-investie, en comparaison des 140 milliards placés en Amérique latine par des hedge funds. «L'Afrique subsaharienne connaît sa plus forte expansion économique depuis quatre décennies», explique Cyrille Nkontchou, CEO de LiquidAfrica. Le PIB de la région devrait augmenter de 6,8% en 2008, selon le FMI. Les moteurs de cette croissance: les matières premières et les milliards investis par la Chine dans l'infrastructure et les mines, jusque-là délaissées par les étrangers.

    Le Nigeria émerge comme la nouvelle puissance économique africaine. «Le pays a remboursé sa dette extérieure et pourrait bientôt créer un puissant fonds souverain», souligne Mark Wesseling, de Mango Capital, dont le hedge fund africain a dégagé 43,7% sur 12 mois sans levier, ni vente à découvert. L'Angola, qui a trouvé en la Chine un énorme débouché pour son pétrole, se prépare à lancer une bourse ce printemps. La bourse du Ghana profite de la flambée de l'or, du cacao et de la découverte de pétrole dans ce pays. Le Congo n'a pas de bourse, mais il est possible de s'exposer à son riche secteur minier au travers de compagnies canadiennes et australiennes. «Le Nigeria, l'Ouganda et la Zambie suscitent le plus de convoitises des fonds, mais ces marchés restent petits et illiquides», prévient Heiko van Wyngaarden, de la société sud-africaine Oryx. La bourse du Nigeria a gagné 60% sur un an, et 130% sur trois ans. En Zambie et au Kenya, les valorisations sont aussi trop élevées. Or la vente à découvert est encore impossible dans ces pays.

    Promotion agressive

    L'Afrique du Sud a promu agressivement son industrie des hedge funds jeudi. Ian Hamilton, représentant à Johannesburg de l'AIMA, l'Association mondiale des gérants alternatifs, a fortement conseillé de s'aventurer sur le reste du continent à travers les sociétés cotées en Afrique du Sud et actives dans le reste de l'Afrique.





  • 30 mars 2008 12:44

    Afrique : Les gérants font une timide 09:19 05/03/08

    percée

    La Tribune - 04/03/08 -

    Ces dernières années, quelques sociétés de gestion comme Investec ou New Star ont lancé des fonds de placement investis en Afrique. JP Morgan envisage d'en lancer un dans les prochains mois. Les gérants veulent profiter de la hausse des prix des matières premières et des produits agricoles.

    L'Afrique serait-elle en train de devenir un thème en vogue chez les gestionnaires d'actifs ? Après l'Amérique latine et surtout l'Asie, plusieurs fonds de placements ont en effet commencé à s'intéresser ces deux dernières années au vaste continent africain. Mais leur nombre reste encore limité. Si ceux qui existaient jusqu'à présent se concentraient surtout sur l'Afrique du Sud, l'Égypte et le Nigeria, les nouveaux gestionnaires sont désormais attirés par l'ensemble des vingt et une Bourses de la région. La société de gestion sud-africaine Investec a été l'une des premières à se lancer, avec un fonds créé en février 2006, qui a aujourd'hui près de 280 millions de dollars d'encours sous gestion.

    L'an dernier, la banque d'investissement russe Renaissance Capital a fait de même, avec des encours d'un milliard de dollars. Cet été, Nicolas Clavel, un Suisse basé en partie à Londres, a créé " le premier hedge fund panafricain " (voir encadré), ainsi que le premier fonds indiciel africain, chacun de quelques dizaines de millions de dollars d'encours. Fin octobre, la société de gestion britannique New Star a elle aussi lancé un fonds dédié à l'Afrique sub-saharienne, " heart of Africa ", qui gère aujourd'hui près de 100 millions de dollars.

    JP Morgan Asset Management s'apprête également à en lancer un pour la fin du premier semestre. " La dernière fois que j'ai vu autant d'intérêt pour l'Afrique, c'était au début des années 1980 ", raconte Nicolas Clavel, un ancien de Citigroup qui travaille depuis un quart de siècle sur le continent africain.

    Pour les gérants, l'Afrique bénéficie d'un ensemble de facteurs favorables, en bonne partie liés à la demande chinoise qui tire à la hausse les prix des matières premières et des produits agricoles, deux sources de revenus importantes pour une grande partie de l'Afrique. " La Chine a investi 2 milliards de dollars en Afrique ces trois dernières années, et elle devrait investir environ 20 milliards pendant les cinq ans à venir ", affirme Claudia Barrulas, spécialiste produits sur les marchés émergents de JP Morgan Asset Management. De plus, une partie de la dette des pays les plus pauvres a été annulée par le G8.

    Bien entendu, la promesse de rendements alléchants n'est pas étrangère à ce soudain intérêt des gérants. Investec a, par exemple, réalisé une performance de 55 % en presque deux ans. L'indice Africa Index 40 a progressé de 92 % depuis sa création en décembre 2005. À cela s'ajoute le fait que les marchés africains ne sont pas corrélés au reste du monde. Du moins pour l'instant. " Le paradoxe est que plus il y a d'argent étranger investi en Afrique, plus cela lie les marchés africains au reste du monde ", explique Jonathan Chew, gérant basé à Londres pour la société de gestion Imara Holdings.



    RISQUES POLITIQUES

    Évidemment, ce rendement ne va pas sans risque. " Au Zimbabwe, nous enregistrons régulièrement des hausses et des baisses de 40 % à 50 % par jour, poursuit Jonathan Chew. On peut tout perdre, comme on peut avoir un rendement excellent. "

    " Investir en Afrique ne peut se faire qu'à long terme, avec une vision de cinq ans ou plus ", estime Claudia Barrulas. Mais les risques ne se situent pas qu'au niveau du rendement. Le principal problème des marchés africains vient du manque de liquidité (voir encadré). Il faut aussi compter avec les risques politiques, qu'il s'agisse des accès de violence (Kenya), les saisies de biens étrangers (Zimbabwe) ou les guerres civiles (Côte d'Ivoire). " Avant chaque élection, on se rend dans le pays pour voir exactement ce qu'il se passe ", explique Julien Véron, un analyste d'Investec basé en Afrique du Sud. " Nous retirons nos investissements trois ou quatre mois avant chaque élection ", ajoute Nicolas Clavel, le fondateur de Scipion Capital. Mais, dans l'ensemble, les gérants de portefeuilles se montrent confiants et estiment que les risques politiques sont globalement en baisse.



    +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
    Le premier hedge fund africain

    Parce qu'il n'existe pratiquement aucun produit dérivé en Afrique, créer un hedge fund investissant sur le continent relève presque de la mission impossible. Pourtant, Nicolas Clavel, le fondateur de Scipion Capital, a créé l'été dernier ce qu'il revendique être le premier hedge fund panafricain. Son approche est assez originale. Il aide notamment au financement d'entreprises qui exportent des matières premières d'Afrique, comme par exemple du coton ou du café. " C'est une activité parabancaire, explique Nicolas Clavel. Nous travaillons avec des entreprises qui réalisent moins de 1 milliard de chiffre d'affaires et qui n'intéressent pas les grandes banques. " Mais pour se protéger, il achète des contrats futurs de matières premières... à la Bourse de Chicago.

    ÉRIC ALBERT, À LONDRES




  • 19 janvier 2009 15:55

    Monsieur,

    Je me permets de vous envoyer un courriel pour vous présenter mes activités.

    La société McKenson Invest, dont je suis le gérant, ambitionne de lancer le premier site en ligne donnant un accès en temps réel aux projets innovants et aux secteurs porteurs.

    Notre site web s’adresse principalement aux porteurs de projet souhaitant s’établir dans les pays émergents d’Afrique et aux investisseurs de toutes les parties du monde.

    Mes collaborateurs et moi –même sommes très heureux de vous annoncer le lancement prochain de notre service de mise en relation d’affaires.

    Avec ce service, les membres pourront :

    •Créer leur profil

    •Consulter la fiche détaillée d’un entrepreneur ou d’un investisseur

    •Tchater en temps réel

    •Envoyer et répondre aux e-mails par le biais d’une messagerie interne et sécurisée.

    •Consulter les annonces de candidats recherchant un emploi au sein d’un projet.

    •Accéder aux fiches-pays ayant de fortes potentialités économiques.

    •Affiner la recherche d’un profil d’investisseur, d’entrepreneur ou de candidat par critère (secteur d’activité, pays…).

    Le site est en cours de conception ; la maquette est consultable sur le lien :

    www.pixadelic.com/McKenson/

    Je serai très honoré de pouvoir vous donner de plus amples détails par mail sur le fonctionnement de la plateforme Internet et étudier l’éventualité d’un partenariat.

    De nombreux entrepreneurs ayant des projets ambitieux nous ont déjà fait part de leur très grand intérêt pour notre activité en s’inscrivant sur le formulaire disponible dans notre espace d’hébergement provisoire :
    www.McKenson-Invest.com


    Cordialement,

    Harley McKenson-Kenguéléwa, fondateur et gérant,
    McKenson Invest,
    Harley.k@McKenson-Invest.com


  • 13 mars 2009 12:22

    Salut Bundy

    Es tu toujours a la recherche d'investissement en Afrique?Si oui Je pense avoir quelque chose qui peut t'interresser. contact moi davidcdm@hotmail.com que je t'en donne les details

    david


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