IBA : article

pp1957

25 août 2017 •10:18

c'est sur le sujet de la concurrence

patlee67

25 août 2017 •10:21

ben oué bcp bcp de
positif

http://www.lecho.be/entreprises/pharma-biotechnologie/Comment-IBA-rea git-face-a-la-concurrence/9926012


c'est n'importe quoi cette chute ... Bref

fsabati1

25 août 2017 •10:24

possible d'avoir le CC du corp de l'article ?

patlee67

25 août 2017 •10:25

KBC nous présente la boite comme à l'agonie alors que la réalité est son totalement l'inverse.. Analyste à 2 balles !
Le ton de la conf call de hier etait super bon et les perspectives sont super... N'en déplaisent aux bashers

patlee67

25 août 2017 •10:26

fsabati1 tu peux t'inscrire sur le site et tu auras le droit à 5 articles par mois gratuitement.

MAYA2.0

25 août 2017 •13:08

IBA semble de moins en moins seule sur son marché, la protonthérapie. Pour conserver son rang, la société néolouvaniste va se lancer dans la production en petites séries de son système compact. Un investissement de 16 millions d'euros.

IBA, premier fournisseur mondial de solutions de protonthérapie pour le traitement du cancer, a fait état jeudi de prévisions pour 2018 et 2019 qui n’ont pas du tout plu aux investisseurs. S’accompagnant de l’annonce d’une perte de 4,655 millions d’euros pour le premier semestre 2017, cette nouvelle guidance pluriannuelle a plombé très sérieusement le cours du titre de l’entreprise néolouvaniste à la Bourse de Bruxelles

• Quid de l'avenir de la protonthérapie?

Bien qu’il ne nie pas les difficultés rencontrées, le CEO, Olivier Legrain, a fait valoir que son entreprise "a travaillé sans relâche pour rectifier les difficultés liées à la gestion de projets, notamment en améliorant les systèmes permettant de gérer le profil de risque des projets, en ajoutant des directeurs de projets régionaux dédiés, en améliorant les processus internes et en discutant avec des partenaires de construction spécialisés."

Selon lui, les perspectives pour le marché de la protonthérapie, "qui est de plus en plus acceptée comme une modalité de traitement du cancer", restent très solides. "Cependant, après une période de très forte croissance, le premier semestre 2017 s’est montré plus lent. Cela ajouté à la hausse de la concurrence sur le marché engendre une visibilité limitée sur le timing de la réalisation de nouvelles commandes."

• Le problème de la concurrence

À côté des retards dans les installations – qui ne sont pas le fait d’IBA mais de ses clients –, c’est là que se situe sans doute l’autre problème majeur de la société: IBA semble de moins en moins seule. Elle a été et reste leader incontesté – avec une part de marché de plus de 50% – d’un marché de niche, celui de la protonthérapie. Cette forme de radiothérapie extrêmement précise permet de limiter les dommages aux cellules saines lors du traitement d’une tumeur.

Mais le développement de ce traitement contre le cancer a attisé les convoitises. À côté des acteurs historiques, de nouveaux venus brandissent des systèmes plus économiques.


• Alors que faire?

Pour conserver son rang, la société néolouvaniste va se lancer dans la production en petites séries de son système de protonthérapie compact, avec une nouvelle ligne d’assemblage pour le synchrocyclotron ProteusONE, la solution à une seule salle de traitement.

À partir de l’an prochain, cet investissement de 16 millions d’euros permettra à IBA de produire entre 20 et 30 accélérateurs de particules par an, contre 8 à 10 actuellement. De quoi lui permettre de faire face à une demande en croissance mais aussi de réduire les coûts et les délais. A l’avenir, IBA espère notamment pouvoir ramener à 9 mois, contre 12 à 18 aujourd’hui, le délai de construction d’une salle de protonthérapie, et à six mois, contre douze, le temps nécessaire pour installer la machine.

MAYA2.0

25 août 2017 •13:11

nouvelle désillusion pour les actionnaires

Ce vendredi, l'action d'IBA enregistre un rebond, par rapport à la forte sanction de jeudi.

Ce nouvel avertissement sur résultats est en effet très mal passé auprès des investisseurs. Le titre IBA a dégringolé ce jeudi de 35,10% à la Bourse de Bruxelles, perdant près de 10 euros par action en une seule séance. La capitalisation boursière est retombée à 598 millions d’euros.

"La fin d’un mini-cycle pour la protonthérapie", titre dans une note KBC Securities, qui s’inquiète du faible nombre de nouveaux projets dans le pipeline pour les prochains mois et d’une concurrence accrue avec le groupe américain Varian. Pour les investisseurs, c’est une nouvelle désillusion. En quelques mois, l’action – considérée à l’époque comme une valeur de croissance – passe de 56 euros à 20 euros. Soit une chute de 64%. Un parcours boursier difficile qui rappelle étrangement la période de la bulle internet.

Souvenez-vous, en juillet 1999, la société annonce pour le premier semestre des bénéfices largement en dessous des attentes et ses faibles perspectives déçoivent. C’est le point de départ d’une longue chute boursière qui verra IBA perdre 94% de sa valeur en trois ans. L’action, qui était alors comprise au sein de l’indice Bel 20, en sortira en mars 2003.

n00b1

25 août 2017 •14:15

@ Patlee67 : Oui les perspectives ne sont pas aussi noires que certains veulent le faire croire.
Le seul truc c'est que la valorisation avant ces 2 grosses baisses récentes était plutot très très élevée donc retour de baton tout simplement.
Et comme nous le savons tous , les zinzins aiment bien faire des excès ( que ce soit à la hausse comme à la baisse ) car c'est ce qui permet de faire un max d'argent en un minimum de temps.