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Or : Deflation Recession Dpression

22 avr. 2014 19:00

Scenario Consequences

Si, tout de même, il y a bien quelqu un qui est angoissé par la baisse généralisée des prix :

celui qui est très endetté. Sa dette, en effet, voit son poids relatif augmenter au fur et à mesure que les prix baissent, sa valeur nominale ne bouge pas mais elle devient proportionnellement plus lourde quand partout autour les prix refluent. Pour un surendetté, un recul prolongé des prix signe son arrêt de mort.

Et qui est concerné ? Les pays industrialisés, les Etats-Unis, l Europe et le Japon. Voici la véritable raison, les Etats surendettés. Ensuite ils "vendent" cette peur à tout le monde pour masquer le fait qu ils en sont les seuls à en payer le prix.

On voit ensuite courir sur les plateaux de télévision des économistes qui nous expliquent que la baisse des prix entraîne automatiquement une récession, une chute du PIB. Pourquoi ? Parce que les consommateurs reportent leurs achats en attendant que les prix baissent encore…
La bonne blague. Ces économistes possèdent donc la capacité de se retenir de s alimenter, de s éclairer, de se chauffer, de se déplacer pendant plusieurs mois de façon à bénéficier de la baisse des prix ? On applaudit la performance mais elle ne nous semble pas à la portée du commun des mortels.

Et pour les biens non nécessaires, comme les écrans plats par exemple ? Les premiers étaient effectivement très chers, mais les consommateurs s en sont-ils détournés dans l attente de prix plus raisonnables ?
Nullement, au départ ceux qui bénéficiaient de revenus élevés s en sont achetés, puis les prix ont baissés, élargissant ensuite le public potentiel, et ainsi de suite jusqu à aujourd hui où ils sont à la portée d’à peu près tout le monde. Ce que l’on décrit là n’est rien d’autre que le processus de toutes les innovations technologiques, chères lors de leur lancement puis bon marché ensuite. Cette histoire de report des achats est une fable.

http://is.gd/wYVj87

2 réponses

  • 23 avril 2014 11:55

    Deux grecs au chômage pour un en emploi

    La réalité est encore plus dramatique, puisque c est deux grecs qui sont au chômage pour un grec qui bénéficie d un emploi: ce ratio étant le plus élevé au monde. L effort à fournir par les grecs devrait donc être surhumain - et inhumain - si leur ambition est d égaler ce ratio en vigueur auprès des pays à croissance molle, comme la France.

    Le rythme de créations d emploi devrait en effet atteindre une cadence formidable pour atteindre un ratio de 1.5, alors que les salaires en Grèce sont toujours plus élevés que dans des pays comme la Pologne et la Hongrie. Autrement dit, la Grèce ne pourra toujours pas miser sur son secteur à l exportation pour redresser sa croissance, en dépit d efforts de productivité intenses qui ont été consentis et malgré des salaires réels en chute libre. L année 2014 ressemblera donc aux années précédentes, malgré les prédictions du gouvernement grec, de l Union européenne et du F.M.I. qui - il est vrai - se trompent systématiquement depuis plusieurs années en prévoyant l imminence d une reprise grecque.
    Un budget en excédent, hors intérêts

    Pourtant, l économie de ce pays a changé ces deux dernières années. En effet, la Grèce affiche désormais un excédent commercial, principalement grâce à son secteur du tourisme en progression de 12% en 2013, et du fait d un chômage massif et d une déprime économique qui se sont logiquement traduits par un recul sensible de ses importations. Toujours est-il que la Grèce n a plus besoin aujourd hui d emprunter sur les marchés comme elle n a plus besoin de l assistance de l Europe pour financer ses nouvelles dépenses. En outre, après avoir réalisé quelque 110 milliards d euros d économies en 2012 et en 2013, le budget grec sera excédentaire dès 2014! Ce pays ne disposera évidemment pas de revenus suffisants pour lui permettre de s acquitter des intérêts de sa dette phénoménale, mais il peut désormais se targuer d être en capacité de payer ses dépenses courantes.
    La donne a changé

    En d autres termes, ce n est pas seulement les statistiques et les chiffres qui ont évolué. C est l ensemble de la donne grecque qui, aujourd hui elle aussi, a changé. S il est vrai que les innombrables prédictions selon lesquelles la Grèce serait chassée de l euro en 2011 ou en 2012 ont toutes fait fausse route. S il était littéralement impossible à ce pays de quitter la monnaie unique en 2012 ou en 2013 car il n avait aucunement les moyens d assurer sa subsistance. L excédent commercial de 2013 et l excédent budgétaire prévu cette année lui permettraient et lui donneraient tous les moyens de claquer la porte de l euro, s il le souhaitait. De fait, la Grèce serait aujourd hui capable de quitter unilatéralement la monnaie unique sans être réduite à quémander pas plus l assistance de l Union européen que celle du F.M.I.
    Un remboursement graduel des dettes
    Son excédent commercial l autoriserait en effet à retrouver une drachme solide, qu elle pourrait en outre dévaluer afin de doper ses exportations. Son gouvernement comme son ordre public ne seraient pas menacés car le pays aurait à sa disposition des fonds en quantités suffisantes pour payer ses factures. La Grèce ne ferait pas forcément défaut, puisque ses dettes pourraient être graduellement remboursées dans une drachme qu elle serait en mesure d imprimer en cas d extrême urgence. Bref, une sortie grecque de l euro serait loin de représenter une catastrophe, en tout cas pour la Grèce. Le fait est que, en ce début d année 2014, nul ne saurait balayer d un revers de main l éventualité d un « Grexit ».
    Va-t-on mettre fin à la stratégie du pire?
    Les grecs se rebelleront-ils contre la stratégie du pire systématiquement employée par les autorités européennes, elles-mêmes sous la botte allemande ? Qui consiste à analyser la crise sous le seul prisme des déficits et à n y remédier - en toute logique - que par l austérité budgétaire. Qui punit par la même occasion celles et ceux qui sont le moins responsables du déclenchement de la crise, c est-à-dire les peuples ? La technocratie européenne s est en réalité donnée à cœur joie dans l imposition de cette rigueur au sein des pays européens périphériques comme en France, tant et si bien que les grecs - les espagnols, les italiens, les portugais - en sont aujourd hui au stade du questionnement existentiel. Tous ces sacrifices en valent-ils la peine ? L Europe - cette Europe là !- en vaut-elle la peine ? Quand les seules réponses et que les seuls signaux émanant d Allemagne et de Bruxelles se déclinent en chômage et en économies supplémentaires, lesquels ne manqueront pas de se traduire à leur tour en une radicalisation supplémentaire

    http://is.gd/GMOOig

    remarques
    lui emboite le pas grec
    espagne italie france portugal

    le pire on l ignore ou on fait semblant de croire que tout va bien
    1600 milliards de depots sur les comptes courants+comptes Epargne
    ca rassure
    Too Big to Fail
    cest magique c'est la pensée des anglo saxons
    qui ont elimine la population rouge
    et mis 2 bombes sur les japonais
    femmes enfants vieillards


  • 23 avril 2014 14:22

    Et pourtant c'est le printemps. Ca n'a pas l'air drôle la vie d'un goldeux.


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