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ERAMET : Et hop dans le fossé !

15 févr. 2018 14:30

à ma connaissance c'est au moins la 2ème fois que cela arrive


DÉRAILLEMENT D’UN TRAIN MINÉRALIER
Eramet- Comilog au rapport

15 Fév 2018


La relation partenariale entre l’Etat gabonais et le groupe Eramet- Comilog et surtout l’incident mettant en cause un train minéralier de la Compagnie Minière de l’Ogooué (Comilog), survenu ce lundi 12 février, ont été au menu des échanges qu’ont eus les dirigeants de la compagnie ferroviaire avec la Primature.

Hervé Montegu, le directeur général de l’entreprise, a tenu à faire la lumière sur cet accident qui a paralysé le trafic. On sait ainsi que c’est aux environs de 13 heures au PK 154, dans le canton Ndjolé-Abanga dans la province du Moyen-Ogooué que l’incident est survenu. Fort heureusement aucun blessé n’a été enregistré lors de cet accident.

40 wagons chargés de 3000 tonnes de minerai sont sortis des rails et se sont renversés. Face à cet incident, les équipes de la Comilog et Setrag ont été alertées et elles étaient tout de suite à pied d’œuvre. Le déraillement qui se situe dans des zones dites « instables» a conduit la Comilog à mettre sur pied une commission d’enquête pour déterminer les circonstances de l’accident. Les résultats sont attendus pour apaiser et rassurer l’opinion.

Le Premier Ministre Emmanuel Issoze Ngondet a tenu à signifier lors de cette séance de travail que e le Chef de l’État est « très attentif » à l’évolution de ce dossier et pense que des « perspectives d’investissements et de modernisation de l’outil industriel ont été annoncées ». Avant d’ajouter que le gouvernement est disposé à accompagner ces projets.

Le communiqué relatant cette rencontre a par ailleurs rappelé qu’à la suite de sa récente nomination à la tête du Groupe Eramet, Mme Christel Bories a séjourné au Gabon en mars 2017 pour une prise de contacts avec les plus hautes autorités gabonaises et les salariés de la Comilog. Lors de son séjour, cette dernière avait été reçue par le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, avec qui elle avait eu des « discussions enrichissantes » sur la situation de la Comilog et des « perspectives prometteuses » pour l’entreprise

10 réponses

  • 15 février 2018 15:01

    et bien voila un article qui froissera personne! très diplomatique.
    quel impacts ce déraillement?


  • 15 février 2018 17:00

    BOUBOU n'aime pas le lien semble-t-il
    je remets

    si la vidéo ci-dessous montre bien les images de CE déraillement, ça devrait entrainer un retard dans l'expédition de marchandises

    https://www.youtube.com/watch?v=DsI9ezkY3MQ

    ----

    la dernière fois cela avait eut un impact sur les chiffres (faudrait retrouver le communiqué d'ERA)


  • 15 février 2018 17:05

    En réponse à Maya 2.0, cet article pose deux gros problèmes :
    Durée des travaux pour la remise en état de la voie : la fois précédente cela avait entraîne une chute importante des expéditions et donc des ventes. Impact à mesurer sur les résultats de 2018
    Coût de remise en état de la voie : à la charge de l'Etat ( SETRAG ) ou à la charge de COMILOG

    Il faut également noter que la Présidente n'est jamais retournée au Gabon depuis 11 mois, une filiale qui fait près de 70 % de l'EBITDA.
    Elle est ou l'implication dans le redressement du Groupe


  • 20 février 2018 12:17

    Comilog : Un marché de dupes ?
    20 fév, 2018 l'Union 0 Commentaires

    Depuis le déraillement d'un train minéralier entre les gares ferroviaires de Ndjolé et Abanga, dans la province du Moyen-Ogooué, des voix s'élèvent dans l'opinion et même dans les milieux politico-économiques du Gabon, pour que la lumière soit faite, de sorte que les responsabilités soient clairement établies, et leurs auteurs sanctionnés.

    LE 5 février dernier, le train minéralier n° 7470 déraille entre les gares de Ndjolé et Abanga. Le 15 février 2018, le train passagers Sétrag n°433 connaît une avarie, contraignant ses clients à passer la nuit en pleine forêt et dans le désarroi. Dans le sillage sont pointés du doigt les problèmes de l'entretien et la réhabilitation de la voie ferrée, la vétusté de l'infrastructure ferroviaire qui transporte les productions de manganèse du terminal minéralier de Moanda à celui d'Owendo ; ainsi que le trafic passagers. Le rôle de Sétrag, de Comilog en un mot, celui de leur maison-mère, Eramet, le groupe français dont l'influence sur ces deux sociétés n'est plus à démontrer, est clairement mis à l'index.

    Au lendemain de l'accident de ce train qui tractait 40 wagons de manganèse correspondant approximativement à 3000 tonnes de minerai, paralysant ainsi tout types de trafics sur la voie ferrée, les dirigeants du concessionnaire du chemin de fer ont fait état de mesures préconisées pour répondre aux exigences de sécurité, de fluidité du trafic et des attentes des opérateurs économiques et autres usagers.



    Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète


  • 20 février 2018 14:58

    Je ne pense pas que le conducteur du train soit un salarié d'Eramet ! :-)


  • 20 février 2018 15:19

    Et la vraie question serait plutôt : Y avait il un conducteur dans ce train ?! ;))


  • 20 février 2018 15:21

    :-)


  • 20 février 2018 15:26

    je trouve que cela sent un petit peu à une campagne de presse (= du pouvoir gabonais) vis-à-vis de certaines sociétés étrangères
    un autre article de ce jour du même journal :


    Comilog : Impacts socio-économiques
    20 fév, 2018 l'Union 0 Commentaires

    Des éléments permettent aujourd'hui d'avoir une appréciation bien différente de la prise en compte par ce groupe, via ses « filiales », des enjeux économiques de l’Etat gabonais pour le transport et la commercialisation du manganèse et autres produits miniers gabonais.

    On sait, à titre indicatif, que l’année dernière, la production gabonaise de manganèse a atteint un niveau record de 5 millions de tonnes. Ce qui a représenté une très forte sollicitation de la voie ferrée. De même, les prix de ce minerai gabonais sont au plus haut, ayant triplé l’an dernier pour atteindre 1500 $ américains la tonne. Mieux encore, le poids de la Comilog dans l’économie gabonaise est sans conteste.

    Il faut rappeler, entre autres, que depuis plus d’une dizaine d’années, la prise en compte des aspects de responsabilité sociale et de développement durable par les opérateurs du secteur extractif devenue une exigence et plus facilement assurée lorsque le projet est un succès économique, n'est guère à la hauteur des attentes.

    Il apparaît, fort malheureusement, que l’impact de l’exploitation du manganèse est contrastée localement. Deux « Moanda » se côtoient. D'un côté, la prospérité des installations de la cité des cadres. De l'autre, des bidonvilles et autres habitats précaires des populations installées tout autour. Ce qui donne l’impression d’un îlot de prospérité pour des privilégiés, à côté d’un vaste territoire de laissés-pour-compte. Les nombreux visiteurs qui se rendent dans le chef-lieu de la Lébombi-Leyou sont régulièrement choqués par ce contraste saisissant.

    La « ville du manganèse » n’est pas le reflet des richesses minières qui y sont exploitées et surtout des énormes revenus que le groupe Eramet récolte via sa filiale. On n'y trouve aucune structure hospitalière de référence, pas de théâtre, de bibliothèque, de salle de cinéma ni autres espaces de loisirs.

    Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète

    ----------

    et comme disait un intervenant au sujet de Veolia au Gabon


  • 20 février 2018 15:34

    LE GABON VEUT SUIVRE LA COTE D IVOIRE ET LA RDC AVEC LA SUPPRESSION DE L EXONERATION DE TAXES SUR LES MINIERES


  • 21 février 2018 07:33

    Ca n'a rien à voir... comparer le Gabon avec la Cote d'ivoire et la RDC, là faut peut être revoir un peu ta copie ! L'un est sous menace terroriste et l'autre (la RDC) est en guerre permanente
    !

    https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays/ republique-democratique-du-congo/

    PS : je suis actionnaire depuis 1990 de Total Gabon (ex Elf Gabon) et je dors tranquille...


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