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CARREFOUR : Intéressant

10 oct. 201718:45

Imagine-t-on aller acheter son litre de lait ou son kilo de tomates dans un magasin Amazon ou Google ? Cette question n’est pas si provocatrice qu’il y paraît, car, depuis la rentrée, une rumeur enfle dans les salles de marchés : celle d’une OPA d’Amazon sur Carrefour. Une telle opération aurait un sens, explique Xavier d’Ornellas, gérant associé chez Amplegest. Souvenez-vous qu’Amazon a commencé par tuer les librairies aux États-Unis avant d’en ouvrir lui-même. Fin mai, le géant du Net a inauguré sa première boutique à New York pour valoriser les choix préférés de ses clients tout en redonnant au lecteur le plaisir de feuilleter un livre . Et l’expert de préciser sa pensée : Les grands distributeurs ont détruit le petit commerce en France. Maintenant, c’est Amazon qui va les tuer.
Les analystes ont fait leurs calculs. Carrefour n’est pas cher : il pèse 13 milliards d’euros en Bourse contre 394 milliards pour Amazon, soit trente fois plus pour des chiffres d’affaires relativement similaires, de l’ordre de 100 milliards. Après l’annonce de résultats semestriels décevants, le français se paie 15 fois son bénéfice net par action contre 260 fois pour l’américain. C’est la deuxième plus mauvaise performance du Cac 40 depuis le début de l’année. À 17 euros, c’est cadeau ! Confie un gestionnaire, qui estime que le travail d’Alexandre Bompard, le nouveau président-directeur général, de passer les comptes à la paille de fer, devrait porter ses fruits.

7 réponses

  • 10 octobre 201719:17

    Les analystes de Kepler Cheuvreux rappellent dans une longue note consacrée à Carrefour qu’Amazon a déjà passé un accord avec l’enseigne Dia en Espagne et avec Morrisons au Royaume-Uni. Captures d’écran à l’appui, ils démontrent que ces accords ont permis à Amazon d’offrir des prix plus bas et donc de contrôler les prix finaux aux consommateurs. Ils estiment toutefois qu’un partenariat entre le distributeur français et Google, plutôt qu’Amazon, serait une option crédible .
    Si Google et Amazon s’intéressent à la distribution classique, c’est que, contrairement à une croyance qui voudrait que tout soit acheté sur Internet, le retail représente encore 90 % des ventes dans le monde et ce pourcentage dépasse 95 % dans l’alimentaire. L’importance de ce chiffre d’affaires potentiel ne pouvait donc laisser insensibles les désormais très rentables géants du Net. Forts de capitalisations de plusieurs centaines de milliards de dollars, ils ont largement les moyens de racheter (presque) cash les sociétés de distribution classiques, qui sont fragilisées par leurs faibles marges en raison de l’importance des frais immobiliers et des charges salariales. En l’espace de trois mois, deux opérations initiées par Amazon et Google ont été réalisées aux États-Unis : ces deux groupes ne sont plus uniquement des géants du high-tech, ils viennent de faire une irruption parmi les géants de la distribution multicanal, avec un immense pouvoir de négociation face aux fournisseurs.


  • 12 octobre 201716:48

    bientôt fini les soldes ! rentré vite
    attention au passage des 17.25 ....


  • 12 octobre 201716:57

    Moi je ne crois pas du tout à une OPA, ou alors ce serait hostile et là ca pourrait grimper dur ...
    cependant on ne pourra pas empecher le marché de bruisser de rumeurs vu que le secteur est en ébulition ...

    et puis je pense que le "Macronnet" ne peut pas faire l'impasse sur la grande distribution, donc ca va bouger ...
    parce que lui il le sait, et en tant qu'ancien banquier que le risque est tjrs présent qd on est sur la cote et que l'action est basse par rapport à sa valo (37euros selon NATIXIS...)

    je pense qu'il ne voudra certainement pas etre celui qui a vendu CARREFOUR à AMAZON ...

    on ne sait pas grand chose, mais ca on le sait ... ^^

    donc tt au plus un échange capitalistique maitrisé ...

    c'est bon ou bon pr nous ? ^^


  • 12 octobre 201717:08

    Ah ... on repasse vert ... le funiculaire remarche ! ^^


  • 12 octobre 201717:21

    attention, quand on voit que la valorisation d'une boîte par ses actifs est largement supérieure à son cours boursier ... Ca veut dire que la boîte brûle du cash (comparez le cours de solocal ou CGG à celui de leurs actifs !) ou bien que les investisseurs pensent que c'est ce qui la guette dans un futur proche


  • 12 octobre 201717:33

    Est ce vraiment raisonnable de comparer CA avec LOCAL ou CGG ?
    allons, allons...

    qd la famille MOULIN se renforce ou groupe ARNAULT ou le boss himself et que les analystes voient le fond du pannier sur 15 à la casse on est pas vraiment dans le cas LOCAL ou CGG ...


  • 12 octobre 201718:40

    mais non, tu as lu trop vite.
    Je dis juste que quand tu regardes le coût des actifs versus le coût boursier, ça ne suffit pas à dire si la boîte est sous valorisée ou survalorisée par le marché. C'est tout rien de plus

    et je te donne l'exemple de boîte en déficit chronique (cgg) et/ou endettée (solocal), ce qui n'est pas du tout le cas de carrefour.
    Et je finis parun autre cas de figure > la boîte qui risque de se retrouver avec une situation de déficit
    est-ce comme ça que le marché voit CA si elle ne donne pas un sérieux changement de cap dans sa stratégie ?


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