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CARREFOUR : Petit Article intéressant.

25 sept. 2017 20:39


https://www.valeursactuelles.com/economie/rachat-de-carrefour-par-amazon-la-rume ur-du-siecle-88887

😇

Bon chance
JF

22 réponses

  • 25 septembre 2017 21:14

    Tiens bizarre déjà effacé


  • 26 septembre 2017 07:56

    Reçois un bon reco


  • 26 septembre 2017 07:57

    Sauf que je vois mal moulin/ Arnaud vendre leurs titres avec 30 pour de prime


  • 26 septembre 2017 09:09

    Malheureux...Que fais-tu ici, felous, de relater un article Ă©voquant une possible OPA..? Ne sais-tu pas que cette hypothĂšse dĂ©plait fortement sur ce forum? Blague Ă  part, j'y crois Ă  99% , l'occasion est trop belle pour Amazon de s'offrir la logistique de Carrefour Ă  ce prix! Les opĂ©rations financiĂšres entre sociĂ©tĂ©s ne faiblissent pas, il y en a chaque jour dĂ©sormais...c'est le bon momentum! un matin peut-ĂȘtre, il s'agira de CA...mais d accord avec Fred, le prix proposĂ© devra ĂȘtre de 30€ minimum pour convaincre le tour de table.Belle journĂ©e.


  • 26 septembre 2017 09:30

    ca ce n'est pas le problÚme de la famille moulin et arnault, eux il faut le job, ils montent au capital (10 Millions d'options d'achat X 2 pr la famille moulin par exemple, voir AMF) et ont embauché BOMPARD ...

    CARREFOUR en cible d'AMAZON ou GOOGLE c'est maintenant le problĂšme des baissiers et autres shorteurs ...
    c'est un peu pr ca d'ailleurs que je ne la vois pas glisser largement sous 16 ...

    en dessous de 16 le prix pr moi serait dangereux et les forces de rappels assez fortes je pense ....

    que ferait ts les zozos qui sont en shorts si un de ces 4 matins une rumeur arrivait tot et avant ouverture en large gap haussier ? ...


  • 26 septembre 2017 09:57

    oui de toute façon la baisse est exagérée, on va avoir un beau rebond amha.
    Je viens de doubler ma ligne.


  • 26 septembre 2017 10:04

    Retour à 33 euro avant possible opa si bien sûr le nouveau pdg arrive à faire passer le plan


  • 26 septembre 2017 10:08


    https://www.valeursactuelles.com/economie/rachat-de-carrefour-par-amazon-la-rume ur-du-siecle-88887

    Lien Ă  jour


  • 26 septembre 2017 10:10

    Retirez l'espace qui se met au milieu du mot " rumeur " sur le lien


  • 26 septembre 2017 10:29

    essayer de faire vos courses sur AMAZON cela coutes 2 a 3 fois plus chere qu'aux
    magazins


  • 26 septembre 2017 11:02

    Enfin.. .


  • 26 septembre 2017 11:38

    Je vois bien OPA Ă  24


  • 26 septembre 2017 11:43

    ok pour 24 €


  • 26 septembre 2017 11:49

    Sauf surenchére d ALIBABA


  • 26 septembre 2017 11:50

    Si cela venait Ă  arriver, aprĂšs l'abandon d'Alstom Ă  Siemens, et les autres mĂ©saventures de l'industrie nationale, je suis certain que mon pea serait arrĂȘtĂ© net. Plus d'enthousiasme Ă  ĂȘtre petit porteur ...


  • 26 septembre 2017 11:56

    M3417926,
    Et Essilor ? Et vivendi ? Et Total ? Et Renault ?
    La mondialisation fonctionne dans les 2 sens, et de grands groupes français achÚtent eux aussi des entreprises étrangÚres.
    Votre PEA a de beaux jours devant lui :-) ... et conserve son intĂ©rĂȘt ... surtout avec les projets gouvernementaux en terme de fiscalitĂ©.


  • 26 septembre 2017 12:00

    Pour dissuader tout autre prĂ©dateur, Felous voit plutĂŽt un prix Ă  27€. Le cours devrait vite rejoindre la les 20€ avant toute tentative d'OPA.
    27€ semble une proposition raisonnable, attrayante et difficilement surenchĂ©rissable. Ce qui rassurera la sociĂ©tĂ© absobante.
    Avis de Felous.
    😇

    Bon chance
    JF


  • 26 septembre 2017 12:20

    Marketing. Le bruit court dans les salles de marchĂ©s. Les gĂ©ants du Net veulent aujourd’hui s’emparer du chiffre d’affaires de la distribution classique et en mĂȘme temps rĂ©gler leurs problĂšmes de logistique. Leur guerre dans le monde numĂ©rique se dĂ©place vers les Ă©tals.


    Imagine-t-on aller acheter son litre de lait ou son kilo de tomates dans un magasin Amazon ou Google ? Cette question n’est pas si provocatrice qu’il y paraĂźt, car, depuis la rentrĂ©e, une rumeur enfle dans les salles de marchĂ©s : celle d’une OPA d’Amazon sur Carrefour. « Une telle opĂ©ration aurait un sens, explique Xavier d’Ornellas, gĂ©rant associĂ© chez Amplegest. Souvenez-vous qu’Amazon a commencĂ© par tuer les librairies aux États-Unis avant d’en ouvrir lui-mĂȘme. » Fin mai, le gĂ©ant du Net a inaugurĂ© sa premiĂšre boutique Ă  New York pour « valoriser les choix prĂ©fĂ©rĂ©s de ses clients tout en redonnant au lecteur le plaisir de feuilleter un livre ». Et l’expert de prĂ©ciser sa pensĂ©e : « Les grands distributeurs ont dĂ©truit le petit commerce en France. Maintenant, c’est Amazon qui va les tuer. »

    Les analystes ont fait leurs calculs. Carrefour n’est pas cher : il pĂšse 13 milliards d’euros en Bourse contre 394 milliards pour Amazon, soit trente fois plus pour des chiffres d’affaires relativement similaires, de l’ordre de 100 milliards. AprĂšs l’annonce de rĂ©sultats semestriels dĂ©cevants, le français se paie 15 fois son bĂ©nĂ©fice net par action contre 260 fois pour l’amĂ©ricain. « C’est la deuxiĂšme plus mauvaise performance du Cac 40 depuis le dĂ©but de l’annĂ©e. À 17 euros, c’est cadeau ! », confie un gestionnaire, qui estime que le travail d’Alexandre Bompard, le nouveau prĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral, de passer les comptes Ă  la paille de fer, devrait porter ses fruits.


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    Alexandre Bompard, l’hyperactif

    Les analystes de Kepler Cheuvreux rappellent dans une longue note consacrĂ©e Ă  Carrefour qu’Amazon a dĂ©jĂ  passĂ© un accord avec l’enseigne Dia en Espagne et avec Morrisons au Royaume-Uni. Captures d’écran Ă  l’appui, ils dĂ©montrent que ces accords ont permis Ă  Amazon d’offrir des prix plus bas et donc de contrĂŽler les prix finaux aux consommateurs. Ils estiment toutefois qu’un partenariat entre le distributeur français et Google, plutĂŽt qu’Amazon, serait une « option crĂ©dible ».

    Si Google et Amazon s’intĂ©ressent Ă  la distribution classique, c’est que, contrairement Ă  une croyance qui voudrait que tout soit achetĂ© sur Internet, le retail reprĂ©sente encore 90 % des ventes dans le monde et ce pourcentage dĂ©passe 95 % dans l’alimentaire. L’importance de ce chiffre d’affaires potentiel ne pouvait donc laisser insensibles les dĂ©sormais trĂšs rentables gĂ©ants du Net. Forts de capitalisations de plusieurs centaines de milliards de dollars, ils ont largement les moyens de racheter (presque) cash les sociĂ©tĂ©s de distribution classiques, qui sont fragilisĂ©es par leurs faibles marges en raison de l’importance des frais immobiliers et des charges salariales. En l’espace de trois mois, deux opĂ©rations initiĂ©es par Amazon et Google ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es aux États-Unis : ces deux groupes ne sont plus uniquement des gĂ©ants du high-tech, ils viennent de faire une irruption parmi les gĂ©ants de la distribution multicanal, avec un immense pouvoir de nĂ©gociation face aux fournisseurs.


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    L'Ă©tude qui montre comment Amazon enterre le commerce traditionnel

    Mi-juin, le spĂ©cialiste de la vente en ligne Amazon a fondu sur Whole Foods Market, un groupe de distribution de produits alimentaires biologiques crĂ©Ă©, en 1980, par John Mackey ; il compte 460 magasins en AmĂ©rique du Nord et au Royaume-Uni. Pour s’emparer de ce groupe en mauvaise santĂ© financiĂšre et malmenĂ© par deux fonds activistes, Jana Partners et Neuberger Berman, le patron d’Amazon, Jeff Bezos, a dĂ©cidĂ© d’offrir aux actionnaires de Whole Foods Market 42 dollars par action, soit une prime de 27 % par rapport Ă  son dernier cours cotĂ©. Cela reprĂ©sente un montant de 13,7 milliards de dollars (11,4 milliards d’euros).

    Cette opĂ©ration est la plus importante acquisition de l’histoire d’Amazon, qui Ă©tait prĂ©sent jusqu’alors dans de nombreux secteurs, mais pas l’alimentaire : historiquement le livre, en 1995, puis il a diversifiĂ© progressivement son offre en se lançant dans l’informatique, les vĂȘtements, l’électromĂ©nager. Pour financer cet achat, malgrĂ© sa trĂ©sorerie de 22 milliards de dollars, Amazon a prĂ©fĂ©rĂ© profiter des taux bas; il a annoncĂ© une Ă©mission obligataire de 16 milliards de dollars avec des Ă©chĂ©ances allant jusqu’à quarante ans. Le jeu en valait la chandelle, Amazon est passĂ© de la dixiĂšme place dans le classement des distributeurs mondiaux Ă  la deuxiĂšme ; certes, loin derriĂšre Walmart, mais il a laissĂ© sur place l’allemand Schwarz (Lidl), le français Carrefour et le britannique Tesco. Cette opĂ©ration permet Ă©galement Ă  Amazon de rĂ©soudre un problĂšme de logistique — elle lui coĂ»te 10 milliards de dollars par an — en offrant ses produits au plus prĂšs de ses clients finaux grĂące aux entrepĂŽts de Whole Foods Market.


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    Apple et Amazon veulent racheter les droits de James Bond

    Certains spĂ©cialistes estiment que c’est une premiĂšre Ă©tape, qui permettra au groupe amĂ©ricain d’apprendre Ă  gĂ©rer un magasin “en dur”, mĂȘme s’il en possĂšde quelques dizaines en AmĂ©rique du Nord. D’autres sont en revanche plus inquiets pour le devenir de la chaĂźne et du secteur en gĂ©nĂ©ral : en dĂ©cembre, Amazon a en effet prĂ©sentĂ© un magasin test Ă  Seattle, Amazon Go, au concept trĂšs simple : “pas de file d’attente, pas de caisse, prenez juste vos produits et partez”. Ce concept store est truffĂ© de camĂ©ras qui suivent le consommateur, enregistrent ce qu’il prend, ce qu’il remet dans les rayons, ce qui permet de le facturer directement sur son compte Amazon. Il pourrait donc dupliquer le concept d’Amazon Go chez Whole Foods Market


    Preuve de la crainte qu’inspire Amazon, Walmart (4 700 magasins aux États-Unis) et Google ont annoncĂ©, fin aoĂ»t, un partenariat pour tenter de contrer celui qui pĂšse actuellement plus de 40 % des ventes en ligne aux États-Unis. DĂšs la fin de ce mois, le premier groupe mondial de distribution (486 milliards de dollars de chiffre d’affaires) proposera des centaines de milliers de produits sur Google Express, le systĂšme de livraison maison de Google lancĂ© en 2013. Cela ira « de la lessive aux Lego », explique Sridhar Ramaswamy, responsable de la publicitĂ© et de l’activitĂ© commerciale chez Google.

    « Nous voulons rendre les courses plus rapides et plus simples », explique Marc Lore, patron des activitĂ©s de commerce en ligne chez Walmart, qui voit dans ce partenariat un moyen expĂ©ditif d’augmenter sa visibilitĂ© sur Internet Ă  peu de frais. Ce n’est sans doute pas par hasard si cette annonce a Ă©tĂ© faite quelques jours avant celle du lancement de l’assistant personnel Google Home (dont une des publicitĂ©s explique justement comment faire ses courses en disant juste : “OK Google, je voudrais acheter
”), qui vient concurrencer
 l’Echo d’Amazon.

    La guerre entre les deux gĂ©ants de l’Internet, qui Ă©tait jusqu’alors cantonnĂ©e dans le monde numĂ©rique, n’a pas tardĂ© Ă  se dĂ©clarer dans le monde rĂ©el, dans les rayons des supermarchĂ©s. Jeff Bezos a en effet dĂ©cidĂ© tout de suite de frapper trĂšs fort en ordonnant une rĂ©duction des prix des produits de Whole Foods Market. « Nous sommes dĂ©terminĂ©s Ă  rendre abordable l’alimentation saine et bio. Tout le monde devrait ĂȘtre en mesure de consommer les produits Whole Foods et nous baisserons les prix sans remettre en cause notre engagement historique pour les produits de qualitĂ© », explique Jeff Wilke, patron de la division commerciale d’Amazon, qui compte permettre aux clients de Whole Foods de profiter du systĂšme de livraison Amazon Prime.

    Certains fruits (bananes, avocats) et poissons (saumon) ont vu leur prix immĂ©diatement chuter d’environ 30 %. La frĂ©quentation a aussitĂŽt augmentĂ© de 25 %. Avec Whole Foods Market, le site de vente en ligne ne fait finalement rien d’autre qu’appliquer sa propre stratĂ©gie : vendre certains de ses produits Ă  marge quasi nulle pour augmenter le nombre de ses clients et ainsi les fidĂ©liser. Il ne serait pas non plus Ă©tonnant que les supermarchĂ©s Whole Foods Market disposent, Ă  moyen terme, d’un corner oĂč les clients pourraient rĂ©cupĂ©rer leurs achats effectuĂ©s sur Amazon.

    Baisser les prix est Ă©galement un moyen pour Amazon de se dĂ©barrasser de quelques-uns de ses concurrents, comme il l’a d’ailleurs dĂ©jĂ  fait. C’est ce qui s’est passĂ© avec le site de vente en ligne de couches pour bĂ©bĂ© Diapers.com, Ă  la fin de la dĂ©cennie 2000. Faute de pouvoir l’acquĂ©rir, Jeff Bezos s’est lancĂ© dans une guerre des prix en diminuant de 30 % des produits de puĂ©riculture dont les couches. Cela a finalement contraint Diapers Ă  accepter l’offre de 540 millions de dollars d’Amazon, malgrĂ© une surenchĂšre de 600 millions de Walmart. Tout est une question de prix



  • 26 septembre 2017 12:50

    Pas OPA mais elle va monter vers 22 € Mt


  • 26 septembre 2017 12:57

    oui, elle remontera au dessus de 19 avant OPA


  • 26 septembre 2017 13:00

    Offre Publique d'Achat. Comment pouvez-vous dire "Pas d'OPA". C'est la société qui voudrait proposer une offre aux actionnaires qui décide si il y a OPA ou pas.....


  • 26 septembre 2017 13:07

    Biensur qu'ils n'en savent rien ...mais ceux qui la voient Ă  15.50 disent "pas d'OPA", c'est plus commode !
    seulement voilĂ , dire OPA n'est plus fantaisiste vu le cours bas de CARREFOUR et le mouvement de fond
    qui se fait actuellement dans le secteur avec AMAZON et touti quanti ...

    le cours bas est devenu "leur" problĂšme aux vendeurs ...
    ce n'est pas un hasard si la famille MOULIN achĂštent par millions des options d'achats (voire AMF) et si la famille ARNAULT achĂšte aussii pr 6 millions d'euros d'actions ...

    extrait ce matin d'un point bourse :

    "Plus forte hausse du Cac 40, Carrefour est dopĂ© par des achats spĂ©culatifs Ă  la suite d’un article de Valeurs Actuelles faisant Ă©tat de nouvelles rumeurs de rachat par Amazon. Une telle opĂ©ration, que nous avons dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©, ferait sens, selon Xavier d’Ornellas, directeur associĂ© du fonds Amplegest, citĂ© par le magazine. Le titre Carrefour a chutĂ© de 27% sur les trois derniers mois."


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