GTT (GAZTRANSPORT ET TEC.) : Commande ponant

Endeavour

27 décembre 2017 •13:14

Merci pour cette info.
Selon moi la conversion au gaz de la flotte mondiale de navires de croisière est inéluctable.
De nombreux ports d'escale se plaignent de la pollution engendrée par les navires de croisières dont les générateurs tournent à quai et polluent des sites dits touristiques.
L'environnement à bord d'un bateau de croisière est aussi pollué "que le centre d'une grande ville" et ça commence à se savoir.
Encore une des nombreuses opportunités qui sont à saisir.

emile69

27 décembre 2017 •15:27

Je partage vos vues sur GTT. Beau potentiel pour 2018 et suivants. La société va voir ses marchés s'élargir, c'est évident. Il est encore temps de monter pour ceux qui n'y sont pas encore. GTT ira à 80 euros et plus. Sauf accident de marché bien évidemment.

pleistoa

27 décembre 2017 •18:11

80€ ? je suis preneur !

Philgeo

28 décembre 2017 •08:06

Conçu par le bureau d'études finlandais Aker Arctic, spécialiste des bateaux polaires, avec des lignes imaginées par le cabinet d'architecture nantais SDI, auquel on doit déjà les design extérieurs des Boréal et Explorer, le Ponant Icebreaker sera doté d'une propulsion hybride. Celle-ci reposera sur des moteurs dual-fuel Wärtsilä W31, pouvant fonctionner au gasoil comme au gaz naturel liquéfié. S'y ajoutera un parc de batteries. Pouvant atteindre 15 noeuds en eaux libres, le navire sera doté de propulseurs électriques externes Azipod - présentés comme les plus puissants du marché - ce qui est devenu la norme sur les brise-glaces. Pour des questions environnementales, l'idée est évidemment que le bateau fonctionne dans les zones sensibles grâce au GNL, avec ses batteries comme appoint. Le gaz offre en effet l'avantage d'éliminer les rejets d'oxydes de soufre (SOx) et d'oxydes d'azote (NOx), ainsi qu'une bonne partie des particules fines, tout en réduisant de 30 à 35% les émissions de de dioxyde de carbone (CO2). La propulsion électrique diminue en outre les bruits et vibrations. Les réserves en GNL seront très importantes puisque le navire disposera d'une cuve à membranes conçue par le groupe français GTT, dont la capacité sera de 4500 m3. A titre de comparaison, les premiers paquebots dotés d'une propulsion au gaz, les AIDAnova et Costa Smeralda, deux géants de plus de 330 mètres, 183.900 GT de jauge et 2600 cabines livrables en 2018 et 2019, auront trois cuves totalisant 3550 m3 de GNL, avec une autonomie annoncée d'une semaine. Autant dire que le brise-glace de Ponant pourra naviguer sans se ravitailler sur une période bien plus longue.

Philgeo

28 décembre 2017 •08:08

Voici le lien pour accéder à
l'article,

https://www.meretmarine.com/fr/content/ponant-invente-le-brise-gla ce-de-croisiere

emile69

28 décembre 2017 •16:27

Clairement, un nouveau marché pour GTT.