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Quatre personnes mises en examen pour la voiture brûlée à Paris
information fournie par Reuters 22/05/2016 à 11:52

QUATRE MISES EN EXAMEN POUR LA VOITURE DE POLICE BRÛLÉE

QUATRE MISES EN EXAMEN POUR LA VOITURE DE POLICE BRÛLÉE

PARIS (Reuters) - Quatre personnes accusées d'avoir incendié une voiture de police à Paris ont été mises en examen samedi, notamment pour tentative d'homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique, a-t-on appris de source judiciaire.

Un cinquième suspect avait été placé en garde à vue mais n'a finalement pas été déféré devant le juge.

Les quatre agresseurs présumés, âgés de 18 à 32 ans, doivent aussi répondre, entre autres, des chefs de destruction de bien d'autrui et de violences en bande organisée avec usage ou menace d'une arme sur personne dépositaire de l'autorité publique.

Deux policiers se trouvaient à bord du véhicule lorsque des manifestants au visage masqué ont jeté un engin incendiaire dans l'habitacle à travers une vitre brisée avant, pour l'un d'eux, de tenter d'asséner des coups au conducteur.

La scène s'est déroulée mercredi en marge d'une contre-manifestation, non loin de la place de la République, où des policiers protestaient contre la défiance envers les forces de l'ordre, qualifiée de "haine anti-flic".

Les images vidéo qui ont immédiatement circulé ont suscité de nombreuses réactions politiques venant de droite comme de gauche, y compris du Premier ministre Manuel Valls, lequel a réclamé des "sanctions implacables".

Les deux policiers ont été décorés samedi au ministère de l'Intérieur, en compagnie de trois de leurs collègues.

"Ils sont intervenus dans des conditions très différentes, sur des lieux différents, mais avec la même volonté de faire face à des violences inexcusables, inacceptables, injustifiables", a déclaré le président François Hollande, présent lors de cette cérémonie.

(Simon Carraud, édité par Henri-Pierre André)

1 commentaire

  • 22 mai 13:36

    Ce serait un manque flagrant de courage et d'autorité de la part du gouvernement et de la magistrature que de faire bénéficier ces térroristes des avantages de la théorie des droits de l'homme eux qui ne se sont acquittés d'aucun devoir liés à l'acquisition de ces droits et qui bien au contraire les ont foulé au pied et méprisé.


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