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(lerevenu.com) - Le gouvernement a signé un décret qui impose à toute société étrangère
souhaitant prendre le contrôle d'une entreprise française, dans les secteurs de l'énergie, de l'eau, des transports, des télécoms et de la santé, d'obtenir l'autorisation de l'État. Publié au Journal officiel la semaine dernière, ce texte a vite été baptisé par la presse le «décret Alstom», son adoption devant permettre à l'État de s'interposer dans les négociations entre le groupe industriel et l'américain General Electric.
Bruxelles s'inquiète déjà
Pour le ministre de l'Économie, Arnaud Montebourg, ce décret ne fera que doter la puissance publique de dispositifs qui existent déjà dans beaucoup de pays européens et aux États-Unis. Mais la Commission européenne s'inquiète déjà : le champ des activités concernées est si vaste que la mesure s'apparente nécessairement à du protectionnisme. Une crainte partagée par l'opposition parlementaire et les dirigeants du Medef.Les marchés financiers, eux, n'ont pas pris peur : «Ce décret n'interdit pas de facto les opérations transfrontalières. La question est donc de savoir s'il sera appliqué de façon pragmatique ou suivant une logique protectionniste», explique Alain Bokobza, stratégiste à la Société Générale. En outre, la France n'est pas une exception. Le gouvernement britannique, par exemple, dit rechercher des moyens légaux pour pouvoir s'opposer, si besoin, à l'OPA
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