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Confessions d'une reporter de guerre
information fournie par Le Point 21/05/2016 à 15:37

Digne héritière des pionnières du photojournalisme féminin, Gerda Taro, Lee Miller ou encore Christine Spengler, l'Américaine Lynsey Addario est aujourd'hui une reporter de guerre reconnue et multiprimée. Son travail est régulièrement publié dans les plus grands journaux américains, du New York ­Times au National Geographic. En 2009, le prix Pulitzer l'a propulsée au rang des plus grand(e)s. À commencer par Carol Guzy, une autre femme photographe injustement méconnue du grand public. Et en 2010, la Fondation MacArthur a rendu hommage aux témoignages humains que la jeune femme a su rapporter des pays en crise...

D'Afghanistan en Irak, de Libye (où elle a d'ailleurs été prise en otage à deux reprises) au Darfour, Lynsey Addario, 42 ans, documente les conflits les plus sanglants et risque sa vie pour rapporter des clichés sur les coins les plus inaccessibles de la planète. Sa série sur les réfugiés syriens est d'ailleurs exposée actuellement, avec celles d'Omar Victor Diop, Graciela Iturbide, Martin Schoeller et Tom Stoddart à la Fondation Annenberg de Los Angeles (jusqu'au 21 août).

Un parcours insoliteDifficile d'imaginer qu'au début des années 2000, elle peinait à intéresser les rédactions et devait se battre... pour vendre ses sujets. L'autobiographie (1) qu'elle publie, ce printemps en France, rappelle pourtant le chemin escarpé qu'elle a dû gravir avant d'en arriver là. Immense succès de...

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