Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Ce qu’on ne vous dit pas sur la fortune immobilière de Donald Trump
information fournie par Le Figaro 22/02/2016 à 16:22

EN IMAGES - A l’occasion de la primaire du Nevada, gros plan sur les succès et les échecs du magnat de l’immobilier et candidat républicain à la présidence, Donald Trump. Beaucoup de grandes tours et quelques flops retentissants.

Il a construit sa candidature présidentielle sur sa fortune. Et sa fortune, Donald Trump l’a bâtie quasi exclusivement sur l’immobilier. Alors que se tient ce mardi la primaire des Républicains dans le Nevada, le Figaro immobilier revient sur quelques-uns de ses meilleurs coups sans oublier quelques échecs cuisants. Force est de constater que s’il est né dans une famille d’entrepreneurs immobiliers, son flair et son efficacité lui ont permis de passer dans une autre dimension.

C’est ainsi qu’à 25 ans, avec un investissement limité (500.000 $) il parvient en deux ans à faire passer le taux d’occupation des 1200 appartements gérés par l’entreprise familiale de 34% à 100%. La légende est lancée et en 1983, à 37 ans, il fait construire la Trump Tower de New York, son premier gratte-ciel. Les bases du style Trump sont posées: une architecture voyante facilement identifiable par le grand public et pour être sûr que tout le monde comprenne, son nom y est apposé, idéalement en lettres d’or.

Quelques belles casseroles

Et ça marche: après la Trump Tower de New York suivront la Trump World Tower, le Trump Palace Condominiums ou encore le Trump international Hotel and Tower à Chicago ou le Trump Hotel à Las Vegas... Une impressionnante collection immobilière sur laquelle s’appuie sa fortune estimée entre 4,5 milliards de dollars (par le magazine Forbes ) et 10 milliards de dollars (par lui-même). À ce niveau de patrimoine, il y a forcément une belle collection de succès (voir le diaporama) . Mais ils ne doivent pas faire oublier quelques belles casseroles.

C’est son incursion dans le monde des casinos qui s’est révélée la plus compliquée, principalement à Atlantic City. Cette ville du New Jersey, de 40.000 habitants à peine, est connue pour ses 12 casinos ce qui en fait la seconde ville du jeu aux États-Unis derrière Las Vegas. Mais la situation y est bien moins florissante poussant à la fermeture du Trump Plaza en 2014 tandis que l’avenir du Trump Taj Mahal est des plus incertains.

Preuve aussi que les coups de gueule du magnat de l’immobilier sont parfois des coups de bluff, il a dû abandonner plusieurs de ses projets grandioses comme la reconstruction à l’identique des tours jumelles du World Trade Center ou la transformation du Palais du parlement à Bucarest (Roumanie) en casino géant. Les prochaines semaines diront si sa candidature à l’élection présidentielle est à classer ou non dans cette catégorie.

3 commentaires

  • 02 mars 18:16

    C'est pas lui qui aurait augmenté la valeur de sa police d'assurance avant de se prendre un avion dans un de ses immeubles ! c'est un petit bras ! ))


Signaler le commentaire

Fermer