Un pneumatique de la marque Michelin. (© Jason Goulding)
De janvier à mars, les ventes de Michelin ont totalisé 5,57 milliards d’euros, tirées par des effets de change positifs (+2,5%) et par une progression de 7,3% des volumes.
Cette solide dynamique commerciale s’explique par la reprise de la demande des industriels miniers, la bonne tenue de la production automobile et par les achats anticipés, en amont de la hausse programmée des prix.
Le relèvement des tarifs décidé par le groupe clermontois va soutenir la croissance des volumes et du chiffre d’affaires sur l’ensemble du premier semestre.
Objectifs confirmésAu cours de la seconde moitié de l’exercice, l’effet prix -négatif de 1% au premier trimestre-, devrait prendre le relais.
La phase de transition s’accompagnera d’un pincement de la marge opérationnelle, à prévoir au premier semestre. D’autant que le prix des matières premières reste élevé en ce début d’année. Mais les dirigeants ont toutefois confirmé les objectifs annuels.
Pour rappel, les dirigeants visent, pour l’ensemble de l’année 2017, une croissance des volumes «en ligne avec l’évolution mondiale des marchés», un résultat opérationnel sur activités courantes supérieur ou égal à celui de 2016 (soit 100 millions d’euros), hors effet de change, et un flux de trésorerie structurel supérieur à 900 millions.
L’action évolue à son sommet historique. Par prudence, on conservera la
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