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Bac : très chers recalés...
information fournie par Le Point 12/06/2014 à 22:58

À moins de quatre jours du début des épreuves, le ministre de l'Éducation nationale Benoît Hamon a démonté les critiques récurrentes sur le bac, réfutant le fait qu'il n'aurait "plus aucune valeur", qu'il serait "archaïque, voire préhistorique", ou encore "trop coûteux". Dans le dossier de presse rituel qui décrit, pluie de chiffres à l'appui, l'exploit administratif que constitue l'organisation des épreuves, le ministre a trouvé de bonnes raisons de défendre l'examen : "La mobilisation des familles pour voir leurs lycéens réussir à l'examen, la joie des lauréats le jour des résultats, sont, à elles seules, la preuve et l'incarnation de la valeur du baccalauréat", écrit-il. De même, "le diplôme est, en temps de crise économique plus que jamais, le moyen le plus sûr pour accéder au marché du travail", a ajouté le ministre.

Étranges arguments quand on y songe : l'obtention du bac est bel et bien indispensable actuellement pour poursuivre des études supérieures. On comprend donc l'anxiété de ceux qui le passent. Mais le décrocher du premier coup est à la portée de 87 % des candidats, un chiffre qui monte à environ 95 % si l'on tient compte de ceux qui s'y prennent à deux fois. Or, près de 687 000 candidats au baccalauréat attaqueront lundi un marathon de six jours d'épreuves écrites. Ce qui met la facture de chaque recalé à environ 3 000 euros, si l'on s'en tient à l'hypothèse basse d'un coût global du bac de 100 millions...

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3 commentaires

  • 12 juin 21:57

    mamouth irreformable de toute facons


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